/!\ PAGE 2 SEXE-HENTAI /!\La traque - Partie 1 [PV Symphonie / Lev]

Mes dires étaient sincère, peu être un peu trop. Je ne sais pas trop ce qui m'a pris, mais je l'ai dis, je l'ai fais. Tout le monde aurait pu voir que ces paroles cachaient des sentiments que je n'avais encore jamais connue. C'est comme de l'amour, mais plus fort et autre que l'amour qu'on peu porter pour sa mère, ou pour ses amis. L'ambiance se détends peu à peu, je ne lâche pas la jeune sirène du regard un peu angoissé à la situation. Nos visage se rapproche petit à petit, je continuer à la regarder, ne prenant absolument pas conscience de son geste, pensant naïvement que cette situation, ne serai qu'un rêve d'enfant.

Mais va bien falloir que je finisse par réaliser que ce n'est pas mon imagination, surtout quand nos lèvres on finit par se poser l'une sur l'autre. Les yeux toujours ouvert, je garde ses mains dans les miennes et ne bouge pas d'un pouce. Mon cœur fait un grand bon, je réalise seulement quand nos lèvres se sépare que Symphonie vient de m'embrasser. Gêné, elle baisse les yeux et je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer qu'elle rougissait .

- Désolée.

Je souriais doucement et commence enfin par me calmer. Je lâche une de ses mains pour caresser son visage puis ses cheveux et relève doucement sa visage pour la regarder encore de nouveau droit dans les yeux. Ce baiser, ce n'est pas rien, mais j'en voulais plus, je voulais être sûr. Passant ma main derrière sa nuque et la pousse doucement vers moi pour l'embrasser à son tour tendrement. Je la prends contre moi, mes lèvres toujours contre les siennes. Je rompt le baiser et lui murmure à l'oreille.

« Ce n'est rien... T'en fait pas... »

Je reste contre elle sans bouger rassuré, étonné, et apaisé par sa présence. Avec un léger sourire au lèvre, je finis par ajouter.

« Je m'excuse aussi enfin de compte... J'espère... Que je ne t'ai pas surprise ou quoi que se soit d'autre dans le genre.... »

Mais malgré ces mots je la garde contre moi comme si j'avais peur qu'elle parte.

Il ne réagit pas tout de suite, mais sa main vint relever mon visage et je vis ce sourire prouvant que je n’avais fait aucune erreur.

Il m’attira vers lui et m’embrassa à son tour me serrant contre lui. J’en profitai pour passer mes bras autours de son cou et glisser mes doigts dans ses cheveux.

Lorsque nos lèvres se séparèrent, il murmura à mon oreille, provoquant une multitude de petits frissons.

« Ce n'est rien... T'en fait pas... »

Cette remarque me fit sourire.

J’avais remarqué.

« Je m'excuse aussi enfin de compte... J'espère... Que je ne t'ai pas surprise ou quoi que se soit d'autre dans le genre.... »

Je posai un doigt sur ses lèvres avant qu’il n’ajoute autre chose.

- Chhhht.

Et l’embrassai à nouveau, avec plus de passion cette fois ci, me collant contre son corps comme si je voulais me fondre en lui.

J’avais enfin mis un mot sur cette évidence. Je l’aimais.

Une petite voix au fond de moi me soufflait, à travers le brouillard, que ça devrait me faire peur, mais je ne savais pas/plus pourquoi et je m’en fichais.

Tout ce qui comptais maintenant c’était cet instant-là.

On se croirait dans un autre monde, je viens de me plonger dans un univers encore inconnue. Bien entendue, ce n'est pas la première fois depuis mes 36 ans d'existence que j'ai embrasser et fait des choses avec une femme. Non, mais que je le fasse avec autant de crainte, d'amour et de douceur... Si. Je l'ai embrasser de nouveau, sans même être certain que c'était une bonne chose. Ce stress, cette peur, l'angoisse de la perdre par le simple fait que je l'ai embrasser à mon tour. Un doigt se pose sur mes lèvres lorsque que je présente mes excuses.

- Chhhht.

Je reste bouche bée, et accepte avec le plus grand des soulagements son seconds baiser, bien plus assuré et de passion que la première. Collé l'un contre l'autre je sentais son cœur battre. Des frissons connu parcours mon dos, de la même main avec laquelle j'ai relever son visage pour l'embrasser, je caresse ses cheveux descend à sa nuque et caresse son dos tout en restant collé à elle. Prolongeant notre baiser comme si j'en voulais plus. Comme si je ne voulais pas que se moment se termine. Comme pour immortaliser se moment que je passe avec elle, de peur que le lendemain ce ne sera plus pareil.

Poussé par une adrénaline inconnue, je la pousse en arrière afin de l'allonger sur le canapé et comme pour la protéger, je me met au dessus d'elle la gardant dans mes bras sans l'écraser en me tenant sur un bras et caresse son visage de mon autre main.

M’agrippant à Lev lorsqu’il me fit basculer en arrière, je le laissai passer au-dessus de moi et l’embrassai encore et encore.

La température semblait grimper à chaque seconde et je tirai impatiemment sur le col de sa chemise pour le maintenir contre moi, animée d’une faim qu’il accentuait par son simple contact.
J’avais envie de lui.

Oh bien sûr, ce n’était pas la première fois que je ressentais du désir. C’était même courant. J’avais un appétit insatiable. Mais d’habitude, n’importe quel beau gosse faisait l’affaire, alors que là, c’était de Lev et personne d’autre dont j’avais besoin.

Oui, besoin.

Ce n’était pas un caprice mais presque une question de vie ou de mort.

Je passai une jambe derrière lui pour le coller encore plus contre moi. Ce geste fit remonter ma robe moulante et dévoiler la lisière de mes bas tandis que je rencontrai un léger problème avec mes cheveux attachés derrière ma tête, provoquant une sensation désagréable.

Tant pis, je les détacherais plus tard, quand j’en aurais l’occasion.

Pour le moment j’avais envie de sentir autre chose que du tissu sous mes doigts.

Je glissai mes mains sous sa chemise et caressai son dos.

Ce n’était pas assez. J’en voulais plus !

J’aurais pu nous faire rouler sur le côté pour prendre le dessus et lui arracher cette foutu chemise mais il était beaucoup plus fort que moi et le canapé était trop étroit pour faire quoi que ce soit sans tomber par terre.

Sous ces multitudes de baiser à en frissonner d'envie, très vite, la température de mon corps monte au fur et à mesure des contacts entre Symphonie et moi. J'ai chaud, trop chaud, le pire c'est que je connais ce genre de chaleur. Nous appelons communément ce genre de chaleur: l'excitation. La femme que je chérie et tiens dans mes bras est belle, très belle, magnifique même. Il n'y a pas de doute, j'étais chanceux, et personne ne serai capable de ne rien ressentir en la regardant.

Sa robe, son visage ses cheveux... Je me retrouve un peu plus serrer contre elle par son appuie sur mon corps avec ses jambes. Et la j'en pouvais plus, j'étoufferai presque sous cette chemise. Les caresses de Symphonie m'incite très vite à ouvrir ma chemise en un coup de bras détachant les boutons de celui-ci et dévoile à la raison de ce geste, mon torse brulant qui ne demande qu'a ce coller à elle.

C'est alors que je me lance, poussant la bretelle de sa robe pour dévoilé entièrement son épaule et y glisse quelque baiser pour monter jusqu'au cou. Et caresse de ma main libre sa jambe glisse mes doigts sous le bord de son bas et descends vers ses pieds pour enlever ses collant qui pour le moment gêne.

Lev s’écarta un moment et ouvrit violemment sa chemise avant que je n’aie le temps de protester.

Je l’avais déjà vu torse nu, et comme à chaque fois, je ne pouvais m’empêcher de le dévorer du regard. Sauf que cette fois, je pouvais toucher et gouter.

Je pouvais me permettre de songer à tout un tas de choses concernant Lev. Ce n’était plus interdit.

Nous étions loin de la zone « franche et solide amitié » que nous étions imposés et je me rendis compte que je n’attendais que ça.

Je sentais à travers son pantalon qu’il pensait à la même chose et pressai un peu plus mon bas ventre contre le sien pour le provoquer quand il couvrit mon cou et mon épaule de baisers.

Sa main retira prestement un de mes bas, l’autre jambe étant encore sous son corps.

A vrai dire, je ne pouvais rien faire dans cette position. Je m’arrangeais toujours pour prendre le dessus habituellement, mais là je prenais un réel plaisir à me laisser entièrement consumer. J’avais confiance en Lev, je pouvais me laisser aller avec lui et j’adorais sentir qu’il me désirait autant que je le désirais.

Mes mains parcoururent son corps, descendant sur ses fesses puis sur l’avant du pantalon pour le déboutonner.

L'envie montais en flèche, surtout lorsque ma compagne presse son rein contre le mien un grand frisson fait sonner un râlement entre mes lèvres pendant que je la couvrais de baisé.   J'en voulais plus, s'est évident, mais je ne voulais pas y aller brusquement. Depuis notre rencontre, je me suis persuadé que Symphonie n'était qu'une bonne amie. Mais j'en ai vite douté lorsqu'elle m'a appeler au secours. Mon inquiétude m'a prouvé que Symphonie n'étais peu être pas qu'une simple amie. Et quand elle a commencé à habiter chez moi, quand on dormait presque tout les soirs dans le même lit, la j'ai commencé à comprendre qu'elle était beaucoup plus qu'une simple amie. Et voir qu'aujourd'hui cette envie et cette crainte de la perdre par ces sentiments se sont envolé, je me suis sentie libre, libéré. Oubliant complètement mes brûlures, voulant absolument sentir sa peau du bout de mes doigts, j'enlève à l'aide de ma bouche mes gants et la caresse de sorte que les brûlures dans la paumes de ma main ne soit pour le moment pas visible.

Animé par le plaisir, je l'embrasse de nouveau fougueusement et caresse ses hanches avec envie. Doucement je soulève sa robe tout en l'embrassant avec passion et envie. Je la veux toute entière. Caressant sa peau avec envie, je monte vers sa poitrine pour la caresser et sentais qu'elle s'occupe des l'ouverture de mon pantalon, je glisse pas main sous sa robe pour mieux savourer la douceur de sa peau. Mon dieu, j'aurais presque envie de la dévorer.

Ne résistant pas à cette douceur j'enlève doucement sa robe en l'ouvrant à l'aide de mes caresses. Une fois dévêtue étant habillé de seulement ses sous-vêtements je l'admire tel qu'un enfant qui à reçu son plus beau cadeau de noël. J'en murmure.

« Tu es si belle... »

A ces mots je recommence mes caresses sur ses jambes et embrasse tendrement sa poitrine, ma respiration s'accélère, j'en plus, oui encore plus. Je la veux en entière... A moi seul. Je la désire tant. J'en ai même oublier de cacher les paumes de mes mains.

Je me tortillai de désir sous ses caresses et l’aidai même à me retirer ma robe, impatiente.

Je le voulais. J’avais l’impression que mon corps se faisait presque douloureux tellement je le voulais.

Il se redressa pour me contempler et j’en profitai pour passer ma seconde jambe à côté de sa hanche, retirant mon second bas au passage.

« Tu es si belle... »

Ce n’était pas la première fois que je l’entendais. Mais pas venant de sa bouche.

Je restai figée, le contemplant en face de moi, totalement émerveillé. Comment est-ce que j’avais fait pour ne pas craquer avant ? Il était si… Appétissant !

Je me cambrai lorsqu’il embrasse ma poitrine, retenant un petit gémissement et me figeai, sentant quelque chose d’anormal sur ses mains.

Intriguée, j’en saisis une et mon sang se glaça instantanément.

Mon cerveau, bien qu’encore en proie à cette brume étrange, fit immédiatement le lien entre l’apparition de ces blessures et le court séjour de Lev dans cette pièce au sous-sol tout à l’heure.

Je me crispai et plantai mon regard dans le sien.

- Espèce de…

Je soupirai et l’embrassai doucement.

Bien sûr, je le désirais toujours au point d’en avoir presque mal, mais j’étais aussi en colère contre lui.

Je me collai contre lui et passai mes mains derrière sa tête, caressant ses cheveux.

Il n’allait pas s’en tirer comme ça.

D’un coup de hanche, je nous fis basculer et tomber du canapé, veillant à empêcher sa tête de cogner contre le sol avec mes mains.

J’étais au-dessus de lui à présent. Je saisis ses poignets et les plaquai au sol pour l’empêcher, lui interdire de me toucher, puis me redressai pour le surplomber.

Je savais très bien que s’il voulait reprendre le dessus, il pouvait le faire à n’importe quel moment. Il était cent fois plus fort et plus rapide que moi.

Un léger sourire aux lèvres, je détachai mes cheveux et les laissai retomber en cascade presque argentée le long de mon dos avant de dégrafer mon soutient gorge que je retirai très lentement.

J’allais prendre mon temps. Absolument tooouut mon temps.

Imprimant un léger mouvement à mes reins sur son pantalon à moitié ouvert, j’accentuai la provocation en laissant mes doigts courir sur ma peau.

J’allais le rendre totalement fou.

…

Enfin, si je tenais moi aussi. Je brûlais de passer les préliminaires à cet instant.

Elle commence déjà à me rendre fou, fou de plaisir mais aussi fou d'elle. Je la veux, encore plus que je ne l'ai déjà, mais retirer mes gants ne pouvait pas être une si bonne idée, car elle finit par en saisir une et voit mes brulures. Ces brulures que je me suis fait, pour m'empêcher de faire voler mon patron lorsqu'il a murmurer les menaces. Je ne voulais pas que Symphonie voit les dégâts, juste pour pas qu'elle remette en question sa sécurité auprès de moi. Mais jamais je n'aurais pensé, que la soirée allée finir ainsi. Et si je l'aurai su, je n'aurai pas touché à mes bibelots en argent.

- Espèce de…

Merde, merde merde merde merde merde merde. Ma gorge se serre malgré la situation, et alors que j'entrouvre la bouche pour lui fournir une explication mais celle-ci me coupe net, par un baiser. Je fronce les sourcils ne comprenant pas si elle était en colère, ou si elle voulait remettre ça à plus tard. Mais avant même que je réponde à ses caresses, mon corps s'entrechoque avec le sol et coupe temporairement ma respiration.

J'ai pris quelque seconde à réaliser qu'elle prend le dessus, plaquant mes mains au sol, comme pour me punir de ma bêtise. C'est un jeux? Ou elle compte vraiment me punir? Elle détache ses cheveux et regardant la splendeur qui se tiens sur moi, je ne suis plus en état de réfléchir à quoi que se soit.

Un coup de reins qui se presse contre le mien me fait perdre encore plus la raison. Je vais devenir fou, complètement fou. Voulant jouer un peu le jeux je garde mes mains plaqué au sol et me cambre légèrement vers le haut étouffant cette pulsion et envie suite à ce contact. Ses caresses douces, lente et sensuelle me fait frissonné, non, je ne pense pas pouvoir tenir plus longtemps!

Je finis par me libérer sans geste brusque mes mains et la laissant sur moi la prend dans mes bras pour inspirer son odeur et expirer un long soupir avant de murmurer.

« Symphonie... J'en peu plus, je ne peu plus attendre... Je te veux... Tu me rends fou... »

Mon corps brulant contre le sien le contacte de sa poitrine sur mon torse fait plus encore grandir mon envie d'aller plus loin. De toucher au fruit défendue et de ne faire qu'un. Mais je l'aimais trop pour la forcer. Je veux être sur, même si la question vu la situation, ne se pose même pas!

« Libère moi de cette folie... »

Je continuais mes caresses, luttant pour ne pas retirer le peu de vêtements qu’il nous restait et me jeter sur lui, retenant un gémissement lorsqu’il se cambra, me soulevant légèrement.

Lev se redressa et je me collai instinctivement contre lui tandis qu’il m’entourait de nouveau de ses bras en inspirant un grand coup.

« Symphonie... J'en peu plus, je ne peu plus attendre... Je te veux... Tu me rends fou... »

Sa voix chargée de désir me fit fondre. Je comptais le faire patienter bien plus longtemps, résister à ses supplications, mais la vérité était que j’avais tellement envie de lui que moi non plus je n’en pouvais plus. J’avais l’impression que j’allais exploser.

« Libère moi de cette folie... »

Cette dernière phrase m’acheva.

Je décalai légèrement mes hanches pour avoir accès au bord de son pantalon et tirai impatiemment. En vain. Et je ne pouvais pas non plus espérer retirer ma culotte puisque j’étais assise.

Nous étions tous les deux dans une position peu adaptée pour enlever quoi que ce soit, mais j’avais bien trop de mal à réfléchir pour songer à m’éloigner de lui pour que nous puissions nous déshabiller.

A la place, je continuai de tirer en le suppliant :

- Prend moi. Le désir rendait ma voix tremblante, un peu rauque même. Arrache tout ça et prend moi.

C'était simple, si elle refuse, je ne sais absolument pas comment je vais pouvoir survivre. Oui, bon, j'exagère peu être, mais j'avais l'impression que j'allais exploser, à un point que ma respiration c'est mise à accéléré ainsi que les battements de mon cœur. J'attendais l'honneur et la joie d'avoir l'approbation de ma bien aimé pour me lancer. C'est alors que d'une voix tremblante, tout en essayant d'enlever mon pantalon, elle me réponds.

- Prend moi. Arrache tout ça et prend moi.

Souriant, rassurer mais surtout libéré, je la porte sans attendre et sans même prêté attention à mes blessures et, jugeant plus confortable de profiter de ce moment de plaisir dans un lit, l'emmène sans attendre sans notre chambre. Et chose pratique, par le faite que Symphonie à ouvert mon pantalon, celui-ci tombe une fois lever, est s'est donc ainsi avec Symphonie dans les bras, que j'entre dans la chambre en laissant le reste de mes affaires au salon.

Je la pose de dos sur le lit et me met automatiquement par dessus elle pour l'embrasser de nouveau fougueusement et langoureusement tout en caressant toujours avec envie sa magnifique poitrine. Puis, brulant d'envie, je glisse mes doigts plus bas et fini par y glisser sous le seul tissu qui reste de ma compagne. Soupirant de soulagement, sentant le fruit défendue du bout de mes doigts. Je me mis à jouer avec celle-ci tout en l'embrassant jusqu'à y faire découvrir le corps entièrement dénudé à mes yeux bourré de passion. J'en murmure ces mots.

« Mon dieu... »

Une perfection, à ce comment j'ai pu mériter une tel bénédiction. Aillant plus envie que jamais je l'embrasse de nouveau et descend mes baiser a son cou, puis aux épaules, à sa poitrine à son ventre... Puis goute enfin au fruit défendu tout en caressant son ventre.

Je pensais qu’il allait se jeter sur moi ou quelque chose comme ça, mais à la place, il me souleva et me porta jusqu’à sa chambre, se débarrassant de son pantalon au passage. J’en profitai pour piqueter son cou de baisers, le mordillant légèrement de temps à autre.

Une fois sur le lit, il m’embrassa de nouveau et je l’enlaçai tout en laissant mes doigts caresser chaque parcelle de son corps à portée de main.

Encore une fois, je croyais qu’il allait passer à la vitesse supérieure, mais ce n’était qu’un reflet de mon impatience. J’avais tellement envie de lui !

Ses doigts descendirent et retirèrent le seul bout de tissu qu’il me restait.

J’étais à présent nue et visiblement le spectacle lui plaisait beaucoup au vu des mots qu’il murmura.

Je n’en pouvais plus d’attendre maintenant qu’il n’y avait plus rien à retirer ! J’avais envie de l’embrasser partout, absolument partout, de le caresser, de le sentir en moi.

Je me redressai pour l’embrasser et me recouchai au fur et à mesure que ses lèvres descendaient de plus en plus bas jusqu’à atteindre son but en m’arrachant plusieurs gémissements de plaisir.

Je me cambrai et fermai les yeux, haletant. Bon sang ce que c’était bon !

Ce n’était encore que des préliminaires, mais je sentais déjà le plaisir monter petit à petit.

Je savoure ce fruit des plus délicieux et écoute avec passion ses gémissements qui me pousse à aller plus loin. Détachant mes lèvres de se plaisir, je monte sur son ventre jusqu'à son cou. Enlevant ce qu'il me reste de ma main libre, et me colle enfin à elle. N'en pouvant plus d'attendre je la prends dans mes bras et commet l'irréparable. Sous un râlement de plaisir enfin atteins, nos corps enfin réunie, j'embrasse son coup et commence les vas et vient tout en restant contre elle.

Étouffant mes râlements dans son cou, j'accélérai mes mouvements en voulant plus toujours plus. Bien entendue, je faisais tout mon possible pour ne pas y aller trop fort non plus.

Je continuais donc collé contre elle, savourant se désir des plus fou. Caressant son corps doux et chaud. Je satisfais notre plaisir commun tout en mettant tout en œuvre pour que se moment soit des plus agréable. Chérissant se moment de plaisir avec celle que j'aime, je plante mon regarde dans le sien l'embrassant au front tout en continuant à satisfaire notre envie mutuel.

Il remonta lentement et je m’impatientais encore plus en sentant plus qu’en voyant sa main le déshabiller totalement. Je me tortillai pour l’atteindre. Il était si proche, et j’en avais tellement envie !

Finalement, je me cambrai tout contre lui en poussant un petit cri de plaisir lorsqu’il s’introduisit enfin en moi.

C’était encore meilleur que je l’imaginais !

Repliant mes jambes, j’en enroulais une autour de ses reins, comme si je voulais m’assurer qu’il ne se retirerait pas immédiatement.

Son visage enfoui contre mon cou semblait accentuer toutes mes sensations à chaque baiser. Ses va et vient s’accélérèrent très vite et je ne pus m’empêcher de bouger légèrement mes hanches, accentuant encore plus son mouvement. Mes mains étaient agrippées à son dos et mon corps, qui n’était plus qu’une brindille submergée par une multitude de vagues de plaisir, se collait au sien, brûlant. J’étais comme ivre et le suppliai de continuer encore et encore entre deux cris.

J’avais l’impression d’avoir attendu ce moment une éternité ! Oui, une éternité, vraiment ! A un tel point que je sentais déjà une première explosion de plaisir me crisper contre lui. Je m’agrippai encore plus à Lev, reprenant mon souffle, l’embrassai passionnément et le suppliai de nouveau de m’en donner encore.

Au fur et à mesure de mes va et vient en Symphonie, le plaisir monte au sommet et atteins un plaisir paradisiaque lorsque je ressentie les coups de hanche de celle-ci .

Le plaisir était si attendu si intense, que mon instinct sauvage tente de reprendre le dessus. Mais dieu merci, par habitude, grâce à mon clan aucune transformation ne s'effectue. Mais tout mes muscles gonfle un peu plus et se crispe.

Tout en embrassant et mordillant les lèvres et le cou de ma compagne, j'intensifie mes va et vient lâchant de grognement de plaisir incontrôlable. Sans faire attention au temps qui passe, considérant que ce moment d'extase est si fort qu'il en a arrêter le temps. Collé contre Symphonie et bien trop animé par le plaisir, je ne change pas de position et accentue encore et encore notre moment de plaisir en caressant tout son corps tout en continuant notre contact qui fait que nous ne faisons qu'un.

Je ne pensais plus à rien, le monde autour de moi n'existais plus, il y a juste elle et moi sur se lit, a partager se moment tant attendu de bonheur.

Je continue donc encore et encore, jusqu'à ce que mon corps explose et refuse de continuer. Reprenant ma respiration, après un long et agréable moment, je me retire de Symphonie et l'embrasse tendrement comme un remerciement pour se moment intense et doux, qu'aucun homme oserai refuser.

Je m'allonge à côté d'elle et caresse encore le corps de la jeune sirène du bout de mes doigts l'admirant et reprends doucement mon souffle.

Mon corps tout entier n’était que jouissance sous les assauts passionnés de Lev. Je me laissai totalement emporter par son rythme, submergée par le plaisir, me brisant presque les cordes vocales et griffant son dos qui devait sans doute cicatriser instantanément. Cela n’avait jamais été aussi bon qu’en ce moment même et j’avais l’impression que je pourrais continuer au-delà des limites de mon corps.

Je ne sais combien de fois j’eus l’impression d’exploser de plaisir, mais chaque fois semblait encore plus intense que la précédente, jusqu’à ce que soit le tour de mon amant. Reprenant notre souffle en même temps, il m’embrassa tendrement avant de s’allonger à côté de moi.

Je roulai pour lui faire face, toujours essoufflée et l’admirai. Il était vraiment beau.

Beau, adorable et vraiment très bon au lit. Que demander de plus ?

Je me blottis contre lui, me rendant compte que j’étais à bout de forces. Son corps encore chaud me réchauffait alors que la température du mien redescendait peu à peu et, bien que je me sentais totalement comblée à cet instant, j’avais cruellement besoin de le sentir contre moi.

Déposant de très légers baisers sur sa clavicule, je fermai les yeux. Pour la première fois depuis… Non, pour la première fois tout court, je n’avais vraiment pas envie qu’il s’agisse d’une simple aventure. Je mourrai d’envie de m’assurer que c’était réciproque, mais je n’avais pas envie de gâcher ce moment.

Je m’occuperais demain de cette question, de ses mains à soigner, et des courbatures qui m’empêcheront sans doute de monter et descendre correctement les escaliers pendant deux jours.
Peu importait. Pour le moment, tout ce qui comptait c’était nous deux, l’un contre l’autre dans ce lit.

D’une main légèrement tremblante à force de s’agripper à lui, je caressai son dos et me rappelai des griffures.

Il n'y en avait plus aucune trace, évidemment, mais je préférai m'assurer que je n'avais pas trop abusé.

- Je ne t’ai pas trop fait mal au dos ?

Mes muscles tremblaient légèrement réclamant de déployer leur force animal. Mais il est hors de question que je gâche un moment pareil et fait comme toujours abstraction de faire sortir la bête. La cause de mon bonheur et de mon état de résistance ce tourne vers moi, essoufflé. Se blottissant contre moi je la prends sans hésitation dans les bras comme quand on dors mais cette fois, avec nos corps découvert et brulant d'un passion vécu. Sentant de délicieux baiser sur les épaules ainsi que de ses caresses, je continue les miennes avec un baiser un front.

- Je ne t’ai pas trop fait mal au dos ?

Surpris, je fronce les sourcils, me demandant de quoi elle parlait. La regardant tout en la laissant contre moi je lui fait part de mon incompréhension.

« Euh... Pourquoi j'aurais dû? »

Je réfléchis un moment de que qui à bien pu se passer. Mais je ne voyais toujours pas, sans doute le plaisir qui passer au dessus de tout ce qui s'est passé.

« C'est moi qui t'ai fait mal? »

Je la regarde inquiet.

« Euh... Pourquoi j'aurais dû? »

Je levai la tête et constatai qu’il était sincère. Il n’avait rien senti dans le feu de l’action. Tant mieux, j’avoue que je m’en serais voulu s’il avait eu mal.

« C'est moi qui t'ai fait mal? »

Je ne pus retenir un petit rire et l’embrassai tendrement.

- Non, au contraire ! C’est juste que c’était tellement bon que je n’ai pas pu m’empêcher de te griffer le dos. Du bout des doigts je caressai l’endroit en question. Je ne suis pas très forte et ça a cicatrisé tout de suite, mais je voulais être sûre que tu n’aies rien senti.

Me serrant contre lui, je réalisai l’importance de ce que nous venions de faire, de l’impact que ça avait eu sur moi.

J’avais l’impression que seul Lev me suffirait et je regrettai presque de ne pas l’avoir rencontré avant. Qui sait, je n’aurais peut-être pas mené la vie que j’avais jusque-là.

L’embrassant, je demandai doucement, étouffant malgré moi un bâillement:

- Ce n’était pas une aventure d’un soir, hein ?

Oui, j’avais dit que je verrais ça demain, mais j’avais besoin de savoir, de l’entendre. De me rassurer.

Un rire rassurant suite à un baiser réponds à ma question.

-Non, au contraire ! C’est juste que c’était tellement bon que je n’ai pas pu m’empêcher de te griffer le dos. Je ne suis pas très forte et ça a cicatrisé tout de suite, mais je voulais être sûre que tu n’aies rien senti.

Je lui adresse alors un grand et lui murmure tout en la serrant un peu plus contre moi.

« T'es adorable. »

Sentant discrètement son odeur je la serre un peu plus contre moi et sent son cœur battre contre mon torse. Ces battements m'apaise, je pourrais presque m'endormir en restant ainsi... Et lors d'un nouveau baiser, une question des plus étrange sors de la bouche de la jeune sirène.

- Ce n’était pas une aventure d’un soir, hein ?

De nouveau, je me dresser et hausse les sourcils tout en la regardant de nouveau. Pourquoi toute ces question si étrange? Quoi que pour le dos ça va se n'était pas trop bizarre. Mais moi il me semblait que cette nuit n'était pas qu'une simple partie de jambe en l'air... Je l'embrasse passionnément pour la rassurer ensuite.

« Pourquoi ça le serai? »

Cette question était en vérité une question réponse. Mais afin d'être sûr je continue.

« Je ne pourrais jamais me contenter d'une aventure d'un soir avec toi. Je veux aller plus loin et concrétiser notre relation. J'aimerai passer le plus de moment possible avec toi. Je... »

Gêner je me rend compte que j'allais encore trop loin.

« Sauf bien sûr si tu trouves que c'est trop rapide ou euh... Trop sentimental ou... »

Je soupire et me masse l'arrête de mon nez entre mes deux yeux.

« Je ne suis pas doué pour m'exprimer sur ce genre de chose... »

La fatigue ne m'aide pas en même temps pour m'exprimer sur se genre de conversation très sérieuse. Mais à propos, il est quel heure la?

« Pourquoi ça le serai? Je ne pourrais jamais me contenter d'une aventure d'un soir avec toi. Je veux aller plus loin et concrétiser notre relation. J'aimerai passer le plus de moment possible avec toi. Je... Sauf bien sûr si tu trouves que c'est trop rapide ou euh... Trop sentimental ou.. Je ne suis pas doué pour m'exprimer sur ce genre de chose... »

Je sentais qu’il avait du mal à s’exprimer et c’était tellement… Mignon !

Finalement, je le sauvai d’un baiser et lui murmurai :

- Je t’aime.

Ces deux mots sonnaient étrangement dans ma bouche. J’avais l’impression qu’en temps normal, je ne les aurais jamais dits, même si je les pensais très fort, mais la cause de cette impression était cachée dans une brume trop épaisse ce soir.

Je baillai de nouveau.

J’étais bien dans ses bras, totalement détendue, totalement épuisée aussi et totalement heureuse. Nichant mon visage dans le creux de son cou, je fermai les yeux et me laissai aller. Ne restaient que mes doigts qui caressaient son dos par automatisme jusqu’à ce que je sombre dans un sommeil profond.

Bon, voyons voir si je n'ai pas tout hasard pas plombé et gâché l'ambiance avec mes aveux?

-Je t’aime

Ma respiration ce coupe, complètement détendue par ces mots, je ne bouge pas d'un pouce et lui murmure à mon tour.

« Moi aussi... »

Sur ces mots, je la câline jusqu'à me rendre compte qu'elle s'est endormie. Doucement je la soulève pour prendre la couverture et nous couvrir sans prendre la peine de nous rhabiller. Quel intérêt? Nous sommes seul, et la maison est fermée. La couverture en main, je couvre donc Symphonie et moi même qui la garde dans mes bras.

La regardant dormir dans mes bras sans m'en lasser, je finis par m'endormir tard malgré le faite que je voulais de base, me lever tôt pour la mission que viens de me confier mon patron. Je m'endors donc nue contre Symphonie nue dans mes bras. Et finis par me lever comme prévu, pour pister ce démon et informé la position à mon supérieur. Mais bien entendus avant de partir, je prépare le petit déjeuner à la jeune sirène et lui laisse un mot pour lui prévenir que je suis parti en mission mais que je reviendrai avant midi. En espérant qu'elle fera grasse mâtiné histoire qu'elle ne se sente pas seule. Au pire je lui ai préparer un thé avec des tartines comme à son habitude, et je lui ai laisser le double de mes clefs.

Bon, maintenant trouvons la nouvelle cachette de ce satané démon et son.... protégée.... Punaise j'aimerais tant lui réglé encore une fois son compte!

(RP terminé ?)

je pense oui.