Quand un meurtre ne se déroule pas comme prévu [pv Symphonie]

Il était de nouveau l'heure de tuer. Un jour de repos à peine qui m'a permis de faire quelque courses et de passer un peu de temps avec mon protéger. Mais je me serais bien passé de cette journée de repos gâché par un sorcier qui s'est pointé devant chez nous.
Mais passons se détails ennuyeux et passons au chose sérieuse. La personne que je dois tuer sous les ordres de mon supérieur cette fois, est un elfe. J'ignore la raison pour lequel je dois le tuer mais j'ai préféré ne pas poser de question. Il fallait que je le tue de suite, à son domicile, jugeant que cette personne est une ''trop grande menace'' pour qu'il vive plus longtemps.

Sans attendre je suis donc a son domicile photo de la future victime à la main. Une lumière s'allume, je me tiens prêt, mais un imprévue plus qu'inattendue surgit: une femme. Mais pas n'importe quel femme, une sirène et utilise astucieusement son charme sur lui. Sa présence et tout de même regrettable, car sa va me faire du travail en plus. Aucun témoin n'est autorisé dans ma fonction, mon supérieur à été formel.

Doucement et sans bruit je me faufile entre les arbres et m'approche en cachette grâce au ombre de la clarté de la lune et regarde attentivement la situation. L'arme à feu sera bien trop bruyante, les voisins risque d'entendre et être eu aussi des témoins, il va falloir faire ça proprement. J'attends donc que les soit disant ''tourtereau'' change de pièce afin que je puisse entrer sans faire de bruit. Une fois à l'intérieur je me glisse doucement d'un pas lent poignard à la main. L'elfe est dos à moi, il sera donc ma première victime et la sirène sera la prochaine.

C'est donc sans attendre que je tu derrière son dos d'un coup de poignard dans le cœur l'elfe qui tombe au sol, laissant du sang s'écouler de sa bouche et me dirige le poignard encore en sang toujours sous forme humaine la jeune sirène.

« Je n'ai rien contre vous, mais il ne dois pas y avoir de témoin. »

Comme toujours je fais toujours en sorte que mes victimes ne souffre pas. Car dans le fond je n'aime pas vraiment mon travail... Tuer.... Mais s'est tout ce que je sais faire. Je visage de marbre d'un air décider je m'apprête donc à éliminé le témoin de la scène, mon visage étant couvert par une capuche bien entendue, s'est plus professionnelle et on ne sait jamais.

Le truc avec les hommes, c’était de leur faire croire qu’ils contrôlaient la situation.

Cet elfe par exemple : aussi vieux soit-il, il était persuadé que c’était lui qui m’avait séduite en allant me parler, alors qu’en réalité, je lui lançais quelques sourires et œillades encourageantes dix minutes auparavant.

L’homme qui se croit tout puissant a une saveur unique. Délicieuse quand on est certaine d’être le véritable capitaine. C’était une sensation entre le coup de poker et la moquerie.

Je ne dis pas là que l’elfe n’était pas séduisant. Au contraire ! Ce n’était pas pour rien que j’avais jeté mon dévolu sur lui !

C’était une race que j’appréciais particulièrement. Enfin. Que le côté mâle.

Les femmes elfes avaient le don de me faire sentir potelée. Voire grosse. Alors que j’avais juste des formes prononcées.

Ce qui était au goût de notre cible, d’ailleurs.

Je me retrouvai très vite chez lui. Un endroit spacieux et riche (je m’en étais douté en voyant sa chemise de luxe), très lumineux.

Nous allions passer dans la chambre quand tout se passa très vite.

Je reculai instinctivement en étouffant un petit cri entre mes mains, sans réaliser vraiment ce qu’il venait de se produire.

L’elfe émit un immonde gargouillis qui lui fit cracher un peu de sang et s’effondra. Mon regard s’attarda un peu sur le cadavre, je reculai encore un peu quand une mare de sang se forma sous lui, et seulement là, je levai les yeux vers l’assassin.

Je ne pouvais pas voir son visage, dissimulé sous une capuche, mais je distinguai très nettement le couteau ensanglanté dans sa main.

Je restai immobile, les yeux écarquillés. Comme une biche prise dans les phares d’une voiture. Quelque part, mon subconscient espérait qu’en me figeant comme ça, il ne me remarquerait pas et partirait comme il est venu.


La peur donne parfois des idées stupides.

« Je n'ai rien contre vous, mais il ne dois pas y avoir de témoin. »

Cette phrase me fit revenir à la réalité. Je recommençai doucement à avoir une pensée rationnelle.

Je ne savais pas quelle créature se trouvait en face de moi, mais j’étais presque sûre qu’il était plus rapide et plus fort que moi. Les trois quarts de la population d’Edora l’étaient.

Enfin, c’était un homme. A en juger par sa carrure. Il y avait peut-être une chance de ce côté-là et ce stratagème fonctionnait plutôt bien en général.

- On… On peut peut-être s’arranger…

Je reculai d’un pas et m’assurai que mon décolleté était bien visible.

- Je ne connaissais pas cet homme…

Je reculai encore d’un pas. La salle de bain ne se trouvait pas très loin. Si le tueur n’écoutait rien, je pouvais toujours me barricader. Enfin… Un moment.

- Et j’aurais très bien pu le tuer. Dans certaines circonstances.

Encore un pas.

- J’ai aussi du sang sur les mains. Alors de ce côté, vous pouvez être sûr que je ne dirais rien.

J’y étais presque !

- En plus je ne peux pas voir votre visage, alors je ne peux pas vous dénoncer. Je peux très bien rentrer chez moi, comme si je n’avais jamais été là.

Je tentai un sourire persuasif et butai contre la porte en reculant encore.

Bon, je l’avais convaincu où je devais me barricader ?

Beaucoup d'être humain tienne à la vie, et bon nombre d'entre eux sont prêt à tout pour entretenir celle-ci. Et cette femme la, comme bon nombre de sirène, fait partie de ces catégories de personne. La seul chose qui la différencie des autres c'est qu'elle ne tentera pas de se sauver avec le force, non quand je vois sa réaction actuelle, elle est plutôt du genre à utilisé son charme pour obtenir tout ce qu'elle souhaite, dont dans le cas présent avoir la vie sauve.

Mais la confiance ne peut pas être donné à n'importe qui. Et encore moins à cette jeune femme qui tente désespérément de fuir la mort qui peut l'attendre prochainement.

- On… On peut peut-être s’arranger…

Cause toujours, les ordres sont les ordres, tu n'échapperas pas à la réglE, puis la voyant reculé, me doutant bien qu'avec sa volonté de vivre, il sera un peu plus dure de la tué comparé à ma première victime. J'avance donc d'un pas et sort ma grande chaîne.

- Je ne connaissais pas cet homme…

Elle recule encore d'un pas vers la salle de bain. Mauvaise idée, s'enferme n'est pas la meilleur solution, surtout dans une pièce majoritairement close. J'accroche mon poignard au bout de ma chaîne.

- Et j’aurais très bien pu le tuer. Dans certaines circonstances.


Elle recule de nouveau tandis que moi, je laisse tombé mon couteau dans le vide, tenant pour cette fois essentiellement la chaîne. Je suis à une assez bonne distance pour la tuer avec ma chaîne et le couteau au bout, sans qu'elle ne souffre, sans voir la mort venir.

- J’ai aussi du sang sur les mains. Alors de ce côté, vous pouvez être sûr que je ne dirais rien.

Elle s'approche un peu plus de la porte, ça va se compliqué, il va falloir un plan de secours, tuer deux personnes face à face discrètement était tout bonnement impossible. Une personne doit automatiquement voir son agresseur.

-En plus je ne peux pas voir votre visage, alors je ne peux pas vous dénoncer. Je peux très bien rentrer chez moi, comme si je n’avais jamais été là. 

Sans un mot de plus, restant sur ma première position, je tente de la toucher en balançant ma chaîne le couteau pointé en avant. Mais comme je le pensais, elle était bien trop éloigné, seul une égratignure au bras et une coupure à sa poitrine et la récompense de cet effort. Trop loin, honte à moi, s'est à croire que je joue avec elle, une simple erreur peu ne pas simplifier les choses. Et la la situation risque de fortement se compliqué. Je ramène la chaîne vers moi levant un peu plus la tête qui laisse apparaître en plus seulement le bout de mon nez. L'expression neutre, inchangé de celle du départ. Mon objectif reste le même, il n'y avait pas un mot à dire de plus.

Je m'approche donc d'elle afin de ne pas rater mon coup pour cette fois, afin de vite en finir même si bien entendue, celle-ci va agir avant même que je puisse relancer ma chaîne.

Une chose est sûre, c'est que ce n'est pas un bavard.

Il lance la chaîne pendue à sa main et, dans un réflexe, je me collai à la porte pour l'éviter. Le poignard au bout m'effleura et dessina deux coupures nettes qui se mirent immédiatement à saigner.

...

...

C'était le moment de paniquer.

Il fit un pas vers moi et je ne pris pas la peine de voir les autres. J'ouvris en trombe la porte de la salle de bain et tournai le verrou. Ça le retiendrait, mais pas pour longtemps. Juste le temps que je trouve une solution.

Qu'est-ce que je peux faire ? Qu-est ce que je peux faire ?!

Je levai les yeux et aperçu une petite fenêtre. Mon salut !

Oui mais non ! Passer par la fenêtre ne me sortira pas complétement du pétrin !
Ce type semblait trop sûr de lui pour être un amateur, et puis la façon dont il procédait... Calme, méthodique... Il pourrait sans doute me rattraper en quelques secondes !

En parlant de secondes...

Je repérai un petit meuble à ma droite et le tirai le plus rapidement possible contre la porte.

J'étais comme essoufflée, mais je savais parfaitement que ce n'était pas cet effort qui me rendait comme ça. Mon coeur battait beaucoup trop fort dans ma poitrine et j'effleurai mes plaies du bout des doigts. Est-ce que ça allait laisser des cicatrices ?
La coupure était nette et peu profonde. Peu de chances donc.

J'effectuai quelques pas vers l'autre bout de la pièce, ouvris la fenêtre et envisageai quelques instants de retirer mes chaussures à talons.
Je l'aurais fait si la lanière qui les retenait à mes chevilles n'étaient pas aussi longues à défaire. Là je n'avais pas le temps.

Je me hissai et glissai doucement à l’extérieur, tentant de faire le moins de bruit possible.
Ma cheville gauche manqua de se tordre en atterrissant sur une terre plutôt molle, mais je me ressaisis aussitôt. Ce n'était pas le moment de traîner !

Il me fallait me défendre ! Alerter des gens !

Vite ! Un objet tranchant ! Un bâton pour frapper ! Un voisin ! Un téléphone !

Un téléphone, oui !!

Je m'éloignai le plus rapidement possible de la fenêtre.

Bon sang, pourquoi est-ce qu'il n'y avait jamais de poches sur mes robes ?!

J'avais deux solutions:

- Traverser la rue ou hurler pour alerter un voisin.
- Retourner dans la maison pour récupérer un téléphone.

La première solution était risquée. Jusque là, le tueur m'avait semblé plutôt calme, confiant. Je pense même qu'il jouait un peu avant de m'achever, aux vues de mes blessures. Si je menaçais d'impliquer d'autres témoins, il pouvait accélérer le processus et je crois bien que je n'aurais pas deux secondes à vivre.

Je pouvais aussi me cacher, mais il y avait des risques qu'il puisse entendre les battements affolés de mon coeur ou encore me repérer à l'odeur.

Après, il ne pouvait pas se douter que je reviendrais de nouveau dans la maison.

Je fis le tour de la propriété, à la recherche d'une fenêtre ouverte et repérai celle par laquelle il était entré.

Il devait être dans la salle de bain maintenant, ou ... Autre part. Gloup. Enfin, toujours est il qu'il ne devait plus être dans cette salle maintenant.

Je l'enjambai en tentant de faire le moins de bruit possible et hésitai entre deux solutions: courir et l'alerter ou rester silencieuse mais lente et prendre le risque de me faire repérer quand même.

Mon sac à main se trouvai près de la porte d'entrée. Le téléphone fixe un peu plus près de celle de la salle de bain.

Je mettrais peut être des plombes à chercher mon téléphone dans mon sac !

Sur la pointe des pieds, je fis un compromis entre rapidité et silence afin d'atteindre le téléphone. Je décrochai précipitamment et composai rapidement le premier numéro qui me vint en tête, et aussi le seul de mon répertoire, je crois.

[Si tu voulais faire quelque chose pour la bloquer entre temps dis le moi, je raccourcis un peu ]

C'était une évidence, l'avoir rater m'a plus fait perdre de temps qu'autre chose, alors que je balançais la chaîne de nouveau sur elle, celle-ci fut plus rapide et entre pour s'enfermer dans la salle de bain.

« Tsss... »

Elle m'agace elle ne peut pas se contenté d'accepté son sort et de mourir? Mon poignard frappe donc la porte, et un grand fracas me fait comprendre qu'elle a déposer un meuble devant la porte, pour me ralentir sans doute? Mh non, soit elle a trouvé une issus pour sortir, soit elle tente de gagner du temps comme bon nombre de personne désespéré. S'est donc sans attendre que je tente de défoncer la porte, sans utilisé mon énergie démoniaque aillant horreur d'en avoir recourt. La porte résiste, encore une perte de temps j'aurais dû m'en douter. Soupirant d'exaspération, j'inspire un grand coup les yeux fermés. Et c'est lorsque je les ré-ouvres qu'un œil prend l'apparence démoniaque, l'iris jaune avec la pupille en forme de losange et le reste de l'œil entièrement noir. Cette œil la brillait et reste visible malgré la capuche toujours soigneusement poser sur ma tête. Les doigts déplié je tends mon bras en arrière et perse en un coup la porte près de la poignet histoire que une fois ma main à l'intérieur j'ouvre la serrure de la porte. Une fois le clic enclenché entendant une fenêtre s'ouvrir, je presse la cadence et donnant un grand coup de pied dans la porte qui bien évidement détruit le meuble par le simple fait qu'en se moment même j'utilise mon énergie démoniaque.

Osant espéré pouvoir la rattrapé avant qu'elle ne sorte j'entre et râle à la seconde voyant qu'elle est déjà partie de la pièce. Les dents serrés plus qu'agacé par se petit jeu je monte habillement par la fenêtre et tente de voir par quel direction elle a bien pu prendre. La solution la plus probable est qu'elle ait pris la fuite. Mais s'est étrange je sens encore son odeur dans les environs... Alors que d'un pas lent sans trop de bruit sans chercher à me faire discret je marche vers la fenêtre par laquelle je suis entré, pendant que le correspondant de la sirène sans que je m'en doute réponds au téléphone.

Je me retenais de tapoter nerveusement du pieds pendant que le téléphone sonnait de l'autre côté, j'avais envie d'implorer Lev tout haut de décrocher (oui, c'était lui que j'appelais, en même temps, j'avais pas grand monde dans mon répertoire) et je jetai des regards inquiets à droite et à gauche.

Quand enfin il décrocha, je manquai de bloquer. Si je parlais à voix haute, le tueur allait m'entendre ! Et le temps qu'on vienne me sauver, il sera peut peut être déjà trop tard !

Tant pis.

Je parlai tout bas sans pour autant chuchoter :

-C'est Symphonie... Il.. Je tentai de calmer les tremblements dans ma voix et de ralentir le débit pour que ça reste compréhensible. En vain. Il y a un tueur qui me poursuit.

Je regardai à droite et à gauche et retins mes larmes. Le fait de le dire à voix haute donnait une dimension encore plus réelle aux faits.

-Je suis ... Putain je ne connaissais pas l'adresse !!! Dans la grande maison blanche, juste à l'entrée de la rue de la liberté.

J'étouffai un sanglot. Où était le tueur ? Est-ce qu'il allait me sauter dessus d'un seul coup ?

-Viens m'aider, par pitié !

Une journée des plus banale, toujours pas de nouvelle de mon nouveau patron, les promenade lassante, la visite d'ami disparu au cimetière. Bref, cette journée me faisait bien comprendre que j'avais besoin de quelque chose de nouveau, ou alors de compagnie. Andro n'étais pas dispo' pour satisfaire cette envie de compagnie. Un problème à la banque qu'elle se devait de régler au plus vite. Elle ne m'a pas préciser sur quoi mais sa avait l'air chiant.

Pour faire court je n'ai donc rien fait de ma journée, me lassant presque des autre emplois dont j'ai été licencié. La bas au moins je faisais quelque chose même si majoritairement c'est pour tenter de casser la gueule à un client insupportable, voir même parfois le patron. Ah tiens en parlant de client casse pied....  il y a un mi homme mi oiseau qui me rappel quelqu'un. Ah mais oui! C'est le gars qui parlais d'amour sans connaître et qu'après lui avoir bien fait comprendre sa bêtise, j'ai rencontré Symphonie. D'ailleurs je me demande comment elle va.

L'homme en question me fuit en prenant ses ailes à sont coup, et moi avec un sourire sadique je n'ai pas pu m'empêcher de se moquer de lui. Ce mec la est vraiment une chochotte. Je finis pas rentrer chez moi m'ennuyant comme jamais jusqu'à ce que mon téléphone sonne.  Étonné de recevoir un appel dans la soirée, je fronce les sourcils et regarde mon téléphone. Tiens? Symphonie? Je décroche.

« Allô?»

-C'est Symphonie... Il..

Sa voix tremble je me penche en avant afin de l'écouter attentivement ça a l'air sérieux... Mais se n'est pas évident de comprendre ces mots avec tout ses tremblement et panique dans ses paroles.

-Il y a un tueur qui me poursuit.

Et la.... C'est le grand vide, mes yeux s'écarquillent, un peu comme si j'avais du mal à y croire, comme si je me supposais avoir mal entendue.

-Je suis ... Dans la grande maison blanche, juste à l'entrée de la rue de la liberté.

Mais s'est le quartier des Bourges ça... Tout les casses pieds sont réunie dans se quartier la.... Mais je commence à peine à réalisé la gravité de la situation de mon amie.

-Viens m'aider, par pitié !

Que faire? Merde c'est pas le genre de chose dont j'ai l'habitude ça. Elle a peur, s'est un peu comme si ça vie ne tenais qu'à un fil et se fil la s'est moi. La gorge serré, aillant peur pour elle je serre les dents déjà en colère contre se tueur qui lui veut du mal....

« Cache toi ou enferme toi dans un lieu sûr j'arrive de suite Symphonie. Tiens bon j'arrive. »

J'attends sa réponse pour raccrocher et sortir de chez moi sans même prendre la peine de fermer ma porte. Puis je me met à courir avec la même vitesse que le jour ou je l'ai emmener à la montagne. Sauf que cette fois, je portais seulement une chemise blanche, un pantalon gris avec mes chaussures de ville. Manche retroussé, je m'imagine déjà en train de refaire le portrait à se tueur qui ose s'en prendre à plus faible que lui.

Me voilà devant la maison et je me rendais vite compte avec effrois que le tueur est derrière Symphonie. Énervé les dents serré je regarde autour de moi et décroche la premiers chose qui me tombe sous la main. Une machine à retiré de mes deux mains, je la déchausse du sol et l'envoie droit vers l'agresseur en hurlant.

« Eeeeeennnnccuuuuulllllééééééééé!!!!!!! »

Trop concentré sur sa victime sans doute, l'homme en capuche se pris la machine en pleine poire et laisse paraître son visage. Cheveux rouge sang, sans sourcils, marque de fer rouge du mot amour sur son front et avec un œil bleue et l'autre bizarre.... Tout noir, sauf la pupille qui est jaune et l'iris en forme de losange, un démon. Je m'énerve, en rangeant mes lunettes délicatement sur mon boutonnage, n'aillant pas mon veston pour les ranger à l'intérieur.

« Pourquoi.... Est-ce que ça ne me surprends.... Même pas? »

Je paraissais calme mais ça ne faisait que confirmer ma rage envers se démon. Je jette un coup d'œil vers Symphonie m'assurant qu'elle n'ai rien. Une fois mettre bien assuré que sa avait l'air d'aller pour elle, j'envile mes gants en cuire noir que j'avais dans la poche de mon pantalon, près à me battre. Sérieusement ça va chauffer pour les fesses du démon...

Je n'ai pas assuré, se n'est pas dans mon habitude. A croire que ma journée de repos que se sorcier à gâcher m'a bien plus atteins que je ne le pensais. Normalement la fille serait morte depuis bien longtemps. Elle n'aurait même pas eu le temps d'appeler un ami pour demander de l'aide. Encore une personne en plus à tuer. Si sa continue va falloir que je tue tout le quartier! Je vais avoir de ces corrections vers mon supérieur... Va falloir que je m'y prépare. Faudra aussi je me prépare peut être a fuir et à me défendre contre d'autre assassin. Mais se n'est qu'un détails. Venons donc au sujet principal, le problème causé par mon incompétence. Il fallait que j'en finisse une bonne fois pour toute. Je la vois de dos, je la fixe, et prends mon poignard a son poignet tout en le détachant de ma chaine.

Il faudrait que je la tue avant que son ami arrive, afin que je puisse disparaître et sauver la personne qui aura la grande bonté de vouloir la sauver. Sans attendre donc, je lance de nouveau ma chaine et parviens sans mal à l'attacher ses deux bras. Je la tourne vers moi et m'apprête à lui lancer le poignard en plein cœur quand soudain....

« Eeeeeennnnccuuuuulllllééééééééé!!!!!!! »

Hein? A peine j'ai eu le temps de réagir ou de faire quoi que se soit que je me prends une machine à retirer en pleine figure. Un humain serait mort sauf que je n'en suis pas un. Un filet de sang coule sur mon visage de marbre et ma capuche tiré en arrière par le choc laisse paraître à tous par mon plus grand désespoir mon visage. Je suis barré, surtout que l'inconnue me reconnais de suite avec mon œil démoniaque.

« Pourquoi.... Est-ce que ça ne me surprends.... Même pas? »

Ne voulant pas vraiment répondre à la menace, je me lève avec un peu de difficulté en m'appuyant contre le mur. Il est fort, de quel race il peut bien être pour avoir cette force? Mh, je vois, un loup-garou, ça ne va pas être simple du tout. Ça m'apprendra à merdé mon meurtre. Il faut dire les crimes improviser ce n'est pas mon fort. Je préfère connaître ma victime et bien me préparer avant. Sinon ça nous met dans se genre de situation.

J'inspire un grand coup et mon second œil prend sa forme démoniaque, ce qui donne un regard haineux envers ce loup qui lui aussi à l'air de se préparer au corps à corps... Pour moi il n'y a pas de problème, je suis prêt. Mais je dois avant tout tuer la sirène. Je récupère ma chaîne et fixe mon nouvelle adversaire. Une stratégie, il me faut une stratégie pour les tuer tout les deux.

« Cache toi ou enferme toi dans un lieu sûr j'arrive de suite Symphonie. Tiens bon j'arrive. »

- D... D'accord ! Bégayais-je en essuyant rapidement mes larmes du revers de la main. J'étais terriblement soulagée et angoissée en même temps de ne pas pouvoir tenir jusqu'à ce qu'il arrive.

Je tournai la tête à droite pour vérifier que le tueur ne s'y trouvait pas, mais n'eus pas le temps de la tourner à gauche qu'une chaine m'entrava les bras en m'arrachant un cri de douleur. Je n'opposai aucune résistance lorsque la chaine tira d'un coup sec pour me retourner, mais laissai échapper un nouveau cri, plus étouffé, même si j'avais l'impression qu'on avait tenté de me déboiter les épaules.

J’écarquillai les yeux, horrifiée.

C'était fini ! J'allais mourir !

J'allais mourir parce que j'avais juste été au mauvais endroit, au mauvais moment.




Moi qui craignais de me faire tuer par un amant un peu trop jaloux et psychotique, j'étais loin de me douter que ça allait se terminer comme ça !

Je me débattais, tirais sur la chaine, mais quelque chose me disait qu'il ne me ratera pas.


« Eeeeeennnnccuuuuulllllééééééééé!!!!!!! »

Le tueur eu juste le temps de se retourner qu'une machine lui tomba dessus. Je me reculai précipitamment en me débarrassant de la chaine et vit Lev entrer.

Bon sang, en le voyant arriver j'avais envie de crier de soulagement, de pleurer, de l'embrasser et de partir loin de cette abominable maison !

Malheureusement, l'assassin se releva, presque indemne.

Je reculai en voyant son visage et ses yeux. Son oeil.. Bon sang son oeil ! Je devins livide et sentis mes genoux me lâcher. Un démon ! C'était un démon !

Lev l'avait aussi deviné.
« Pourquoi.... Est-ce que ça ne me surprends.... Même pas? »

Je reculai lorsque le tueur repris sa chaîne. Je voulais le plus possible être hors de sa portée.

Lev semblait être prêt à se battre, nullement effrayé. J'aurais aimé ne pas avoir peur, comme lui, mais j'étais terrifiée.
Je trébuchai sur le cadavre de l'elfe assassiné plus tôt et tombai sur les fesses. Je me relevai précipitamment et me rendis compte que j'avais du sang de l'elfe partout, en plus du mien qui continuait de couler. Super, maintenant on pouvait me suivre à la trace ! Heureusement que je n'avais plus besoin de me cacher ! Enfin, j'espère !

J'étais prêt à me battre, je n'avais pas peur, s'était un démon, rien de plus. Des démons j'en ait tuer pas mal pendant la guerre et je suis prêt à recommencer. Les gant enfiler, j'aperçois l'agresseur se relever malgré le filer de sang qui coule sur son visage. Il est résistant, ce qui confirme le faite que c'est un démon un démon plutôt bien gradé d'ailleurs. A quel point j'en sais rien mais une chose est sûr c'est que se n'est pas un démon de pacotille. Mais peut importe fallait que je l'assomme un bon gros coup pour que Symphonie soit hors de danger. Au loin je voyais le cadavre de la première victime, pas jolie à voir, mais ça avait l'air rapide et propre puis précis je dois être prudent.

« T'es pas un démon pour rien toi.... On pourrait te montrer en enfant mort ça ne changera rien pour toi hein? »

Et puis il faut vraiment être un démon insensible pour vouloir tuer Symphonie. Mon visage deviens grave menaçant, bien trop pris par la colère pour paraître calme.

« Tu vas prendre cher pour ce que tu as fait. »

Mais d'ailleurs, pourquoi il est encore vivant? Sans ajouter un mot de plus je regarde de nouveau autour de moi plus rien sauf un panneau loin, trop loin, trop loin pour m'assurer qu'il ne touchera pas à la belle sirène. Je me met donc à lui foncer dessus, tête baisser poing levé pour lui en mettre une en plein visage et de cogner sa tête contre le mur jusqu'à ce qu'il perde conscience.

Le combat se porte à mon avantage je donne le premiers coup dans la joue comme ça. Et sa tête se cogne contre le mur, seulement celui-ci est encore conscient, un bon gros coriace, je sens que cette baston va plutôt durer longtemps. Ne perdant pas courage je tente de le frapper une nouvelle fois, mais cette fois s'est le mur qui prends, parce que mine de rien il est rapide. Je jette un œil sur Symphonie tétaniser près du cadavre.

« Va t'en vite, enferme toi ou abrite toi dans un lieu sûr je gère! »

Mais la.... C'est le drame un coup de poignard qui se dirige vers moi que je rate de justesse en me le recevant dans l'épaule plutôt que dans le cœur.  Je grimace enlève le poignard et constate avec soulagement que la lame n'était pas en argent. C'est fou une seconde d'inattention et c'est foutue.

Il veut se battre.... J'ai horreur de ça.... Je me suis déjà assez battue comme ça. Lui il faisait partie de la catégorie des personnes qui pour survivre affronte leur danger, ce batte jusqu'à être en sécurité. Et puis, son visage m'étais familier. Ah oui. C'est le gars qui était au front avec une dragonne gigantesque et noir. Il faut donc que je sois préçis et que je ne rate pas mon coup. Le loup passe donc à l'attaque et je me prend lamentablement une bonne droite dans la figure qui me fait cogner contre le mur. Le deuxième coup, je l'esquive et c'est le mur qui prend les dommages à ma place. Puis c'était le moment d'attaquer, il se tourne vers sa protégé et lui ordonne de partir ou de sa cacher, c'est à se moment la que j'en profite pour le poignarder, mais faute à pas de chance il bouge et c'est son épaule qui prend et non son cœur que j'avais soigneusement visé.

Sans même crier de douleur ou quoi que se soit d'autre il enlève mon poignard pour regarder la lame, je profite de ce moment pour l'enchainer comme la jeune femme et lui donne un grand coup au visage. Toujours pas assommé, un vrais coriace je vais perdre un de ces temps....

« Tsss.... »

Ne voulant pas en perdre de temps je profite de son enchainement pour sortir mon arme, et c'est dans ces moments la ou je regrette de ne pas toujours mettre des balles en argent. Il faut donc viser la tête et le faire mourir en un seul coup. Il ne faut pas que sa particularité ai le temps de le soigner. Mais est-ce que se sera suffisant? Aller savoir pourquoi, mais j'en doute.

Je charge mon arme habillement d'une main et le pointe au crane du blond, mais seulement voilà, un loup-garou ça ne se tue pas aussi facilement.

Je restai là, assise dans cette marre de sang, totalement tétanisée.

Lev se jeta sur le démon et commença à lui asséner un violent coup à la tête. N'importe qui aurait eu le crâne explosé, où aurait été assommé, mais le démon semblait plutôt fort. C'était pas bon du tout ça !

Le tueur évita le second coup et, alors que Lev se tournait vers moi pour me rassurer et m'inciter à partir me cacher, il sortit un couteau et tenta de le poignarder.

J’écarquillai les yeux et retint un cri. Lev avait été blessé à l'épaule. Ça ne semblait pas l'affaiblir mais j'étais terrifiée à l'idée que le démon frappe de nouveau.

Je me relevai prestement et me retournai. Il y avait la chambre juste derrière et sans doute une fenêtre pour partir. Oui mais où ? Le démon pouvait me suivre à l'odeur et me retrouver où que je sois et si Lev ne s'en ... sortait... pas... bon sang, j'espère qu'il va y arriver !

Je me précipitai dans la chambre et fermai à clef derrière moi. J'étais couverte de sang et facilement repérable, donc.

Sauf s'il y avait du sang partout.

Rapidement, je posai mes mains, me frottais presque, contre les murs et les meubles, tâchai le sol un peu partout et, finalement, m'enfermai dans la penderie.

Je sais, c'était pas la cachette du siècle, mais je crois bien que j'étais plus en sécurité dans une chambre remplie de mon odeur où le démon mettrait sans doute un peu plus de temps à me dénicher que s'il avait simplement à suivre une piste bien nette en éliminant tous les gêneurs sur le chemin.

Je profitai des vêtements qui pendaient jusqu'en bas et les plaçai devant moi pour le dissimuler entièrement si quelqu'un venait à ouvrir l'armoire.

J'espère que Lev s'en sortait de son côté !

Mais bordel, il n'abandonne donc jamais? À peine j'ai eu le temps d'enlever son couteau dans l'épaule que je me retrouve enchaîné. Je serre les dents et le regarde d'un air si en colère que mes veines ressortes plutôt facilement sur mon corps et aussi mon visage. Au moins Symphonie était en sécurité, il faudrait que je fasse tout pour que le démon la zappe. Mais ça ne risque pas d'être une tâche difficile. Bien heureusement pour moi, comme toute les races de mon genre, ma plaie à l'épaule se régénère instantanément. Malgré tout, le sang à eu le temps de couler entre temps et ma chemise toute neuve et maintenant foutue. Andro' va me taper sur les doigts.... Mais ce n'était pas ma préoccupation première. Je fixe le démon qui braque une arme sur mon visage. De peur que ses bal soit en argent j'ai préférer vite agir. Je contracte tout mes muscles et écarte mes bras, grâce à ma force la chaîne du démon se brise, mais je remarque que cette chaîne la brule. Elle doit probablement venir des enfers, heureusement ça se régénère mais un peu plus longtemps que le coup de poignard. Mais merde quoi, ma chemise est troué maintenant merdeuh! Autant racheter une autre ça vaudra plus le coup que de la restaurer!

Un derniers coup d'œil sur le côté, Symphonie est partie, dieu merci je vais pouvoir me défouler sans la blesser. Aillant encore le poignard du démon en main, je décide d'attaquer avec celle-ci mais avant tout je tord la main du démon pour qu'il lâche son arme. Une fois à terre j'y donne un coup de pied pour le faire éloigné de son arme. Voilà une bonne chose de faite. Je le soulève par la suite, et le balance contre un mur rempli de cadre qui se brise sous le choc près de la chambre. Un vrai vacarme les voisins risque de crier, mais qu'ils se contente de râler ou de gueuler dans leur coin, parce que moi je n'ai pas l'intention de sauver tout le monde non plus! Rah mais se poignard il m'encombre en faite... Je ne sais vraiment pas me battre avec une arme moi, tout ce que je sais faire c'est taper à main nu.

Il se relève mais avec un peu plus de difficulté cette fois. Mais ça ne me suffit pas, parce qu'il se relève encore. On se croirait presque dans un match de catch mais sans comédie cette fois. Seulement voilà, même affaiblie un démon s'est rapide. Et je crois que je viens de faire la boulette de le rapprocher de son arme en l'envoyant contre le mur.... Merde.

Le loup détruit ma chaîne et me tord le poignet pour me faire lâcher mon arme avant même que je puisse tirer entre les deux yeux. Fait chier sérieusement, puis tout se passe très vite. Avant même que je puisse me défendre je me retrouve contre le mur et me prend des éclats de verre qui me tombe sur la tête. Sa fait mal.... A croire que la fuite de ma cible l'a motiver à monter toute sa force. Je me relève avec grande difficulté et enlève quelque morceau de verre accrocher à ma peau. Par chance je suis près de mon arme que l'ennemie à envoler à l'autre bout de la pièce à coup de pied. Sans attendre je saisie l'arme et tire. Ma vision se trouble, aillant peur de le rater je tire plusieurs fois, vidant même mon chargeur. Couvert de mon propre sans je tente de me concentrer au mieux. Mais je voyait tellement flou que j'ai été sur de le toucher par ces cries de douleurs à l'impacte.

Je n'ai plus de balle. Et son reflet est encore debout. Fait chier.... Et mes balles ne sont même pas en argent... Mon téléphone sonne, putain, comme si c'était le moment! Je ne décroche pas tentant d'abord de m'éloigner de l'ennemi, laissant ma peau prendre sa forme démoniaque c'est a dire couleur sable avec quelque fissure du à ma fatigue. Je m'éloigne vers le garage, vide un bidon d'essence et allume mon briquet pour mettre le feu à la maison. Avais-je eu d'autre choix dans l'était au j'étais. J'ai mal fait mon travail et je sais que je payerais pour ça, surtout si ces deux personnes survive à l'incendie. Je décroche enfin le téléphone après être sortie de la maison.

« Alors? »

« J'ai échoué. »

« Soit plus explicite. »

« L'elfe est mort mais je ne suis pas parvenue à tuer un témoin qui à appeler un renfort pour se sauver. »

« J'exige un rapport détaillé de ce qui c'est passé et que tu viennes à mon bureau pour suivre ta sentence. »

« Bien. »

Je raccroche regarde une dernière fois la maison recouverte par les flammes, et m'en vais avant que le loup ne me rattrape au cas où qu'il ait survécu.

Je ne savais pas depuis combien de temps j'attendais. Peut être cinq minutes, peut être trente secondes... en fait je n'avais qu'une envie, c'est que tout se termine enfin.

Je remontai mes genoux contre ma poitrine et enroulai mes bras autours. Je n'entendais pas grand chose de ce qu'il se passait à côté, mais sursautai à chaque fois qu'un grand fracas retentissait. Qui avait le dessus ? Lev ou le démon ?

Mon coeur battait toujours à cent à l'heure et je frisais le crise d'angoisse. Je cru bien qu'il allait s'arrêter lorsque j'entendis plusieurs coups de feu, me crispai et collai ma main sur ma bouche pour étouffer un cri de surprise et de terreur à la fois.

Faites que ce soit Lev qui ai tiré ! Faites que ce soit Lev qui ai tiré !!!Faites que ce soit Lev qui ai tiré !!! FaitesquecesoitLevquiaitiréfaitesquecesoitLevquiaitiréfaitesquecesoitLevquiaitiréfaitesquecesoitLevquiaitiré !

Bon sang ça me rendait folle !

Une odeur me sortit de ma panique et je toussai en me rendant compte que la penderie était remplie d'une fumée noire et épaisse. La maison brûlait !

Je fus prise de tremblements pendant que mon cerveau faisait le lien entre l'incendie et ce que j'avais entendu. Le... le démon... Il a sûrement tiré sur Lev... Il l'a tué.... Et ensuite il se débarrasse de moi en brûlant tout !

NON !!!

Je sortis précipitamment de ma cachette en trébuchant sur les vêtements qui étaient tombés au passage. Le feu s'étendait vite, mais je voulais avoir la certitude que le démon avait... Que Lev était... C'était à cause de moi !

Je toussai et tentai d'ouvrir la porte, mais les flammes avaient chauffé le métal de la clanche et je poussai un petit cri de douleur lorsque je voulu la toucher. Merde ! J'étais coincée !!

Je me tournai vers la fenêtre et paniquai en voyant que je ne pouvais pas l'ouvrir non plus.

Je pouvais attendre dans un coin que les flammes dévorent la porte, mais je serais sans doute morte avant !

Je hurlai:

- A l'aiiide !!!

Mais si un voisin trainait dans le coin, le démon l'avait sans doute descendu. J'étais condamnée.

[tu peux répondre de suite, Reiji est partie je n'ai rien de plus à écrire pour lui x) ]

C'est dans ces moments la, que je regrette de ne pas réfléchir quand j'agis. Très affaiblie, le démon en profite de cette opportunité pour prendre son arme et vider son chargeur sur moi. Je me prend une balle, et me rend compte avec grand soulagement que se n'étais pas des balles en argent. Mais histoire de ne pas prendre de risque tout de même, je prend le cadavre de l'elfe et me protège avec celui-ci c'était long, trop long a ce demandé si le corps qui me sert de bouclier résistera encore. Au total je n'ai reçu que 4 balles, un au côte, un autre au ventre, une a la cuisse et la première que j'ai reçu dans l'autre épaule. Il s'en va mais je me suis résigner à la poursuivre préférant enlever les balles pour pouvoir me régénéré plus rapidement.

Mais un autre problème reste à réglé, le con de démon la IL A FOUTUE LE FEU! Pile quand j'enlève la dernière balle de mon corps, bordel sa fait mal n'empêche de ce prendre des balles, je n'ose pas imaginer si je me serais pris le chargeur entier comme l'elfe. Mais une autre chose me surprenais, il n'avait pas vu que je me suis protéger? Je l'ai sonné à se point? Il doit y avoir une raison à cela, parce que si il fou le feu c'est peut être pour être sur que je sois mort... Mais.... Et Symphonie où est-elle? Bordel mais s'il faut il la poursuit!! Le feu se propage, l'air comme à devenir difficilement respirable, mais alors que j'allais vite sortir pour rattrapé le démon histoire de l'empêcher de faire du mal à Symphonie une voix familière me retiens.

-A l'aiiide !!!

Je regarde autour de moi, mais bordel s'est la voix de Symphonie ça!

« Symphonie?! »

Sans attendre je me met à la chercher je défonce tout d'abors la porte de la salle de bain, personne. Je l'appel de nouveau étouffante à moitié avec la chaleur mais surtout la fumé qui me pique la gorge.

« Symphonie?! »

Et c'est au bout de la 3eme porte brulante que je défonce que je la retrouve dans la chambre l'épaule nu ma chemise foutue pleine de trou et de sang, mon bras se régénère des brulures causé par mes défonçages de porte. Entre deux trois toux je lui dit.

« Vite faut qu'on dégage d'ici! »

Je prends sa main et commence à la dirigé vers la sortie la plus sûr et la plus proche avant que la maison s'effondre.

J'entendais quelque chose, quelqu'un, mais mon attention était entièrement reportée sur la fumée qui m’empêchait de plus en plus de respirer et les flammes qui se rapprochaient dangereusement.

La porte s'ouvrit dans un grand fracas et, à la place du voisin prévenant auquel je m'attendais, je vis Lev, indemne. Enfin presque. On aurait dit que sa chemise avait pris tous les coups à sa place.

C'était un miracle !

J'en pleurerais de joie si nous ne nous trouvions pas dans une maison en feu !

« Vite faut qu'on dégage d'ici! »

Bénissant le régénération des loups garous, je le laissai prendre ma main et le suivis jusque dehors.
Là enfin, je me retournai et contemplai les flammes, puis Lev, puis les flammes, puis de nouveau Lev. C'était fini. Je ne risquais plus rien.

C'était fini !

L'adrénaline retomba d'un seul coup et je me jetai dans les bras de Lev en pleurant et tremblant comme une feuille. Je serrai pour cacher le fait que mes genoux commençaient à céder et le remerciai frénétiquement entre chaque sanglot. S'il n'avait pas été là, je serais morte à l'heure qu'il est ! Morte !

Bon sang ! MORTE !!!

Je ne pouvais m'arrêter de pleurer. J'ai eu tellement peur ! Et j'ai cru qu'il était mort lui aussi !

Il fallait faire vite, mais le plus handicapant dans tout ça c'était qu'il fallait que je fasse gaffe à ce que Symphonie ne se brûle pas, parce que elle elle n'a pas la régénération comme moi. Quand je pense que j'ai bien faillie y passer avec toute ces balles qui m'aurait planté au sol et ce feu qui nous aurait bruler. Si jamais je retrouve se démon... Il retournera d'où il vient. On arrive enfin à l'extérieur un peu essoufflé pour ma part et regarde la maison dont le toit s'écroule. Il s'en est fallu de peut je suis rassuré d'être à l'extérieur avec Symphonie.

Puis un court instant ma respiration de coupe par un choc au niveau de mon torse, je baisse la tête et voit avec surprise et étonnement la sirène dans mes bras, en larme répétant à chaque sanglot des remerciements. Les bras écartés n'aillant franchement pas l'habitude à ce genre de situation, les bras écarté je les rapproche d'un air hésitant sur elle, et finit par la prendre dans mes bras en inspirant un grand coup. Tout de même c'est un grand soulagement qu'elle soit en vie. Je n'y ai pas penser, mais dans le fond j'ai eu peur, peur de ne pas arrivé à temps.

Je restais un moment comme ça, à la garder dans les bras en attendant qu'elle ce calme, mais vu comment je suis passé de brulant à humide, je pense que je dois prendre l'initiative de proposer qu'on rentre à la maison, enfin chez elle, ou chez moi j'en sais rien. Ne bougeant pas d'un poil n'osant pas trop sur le coup en voyant son état je lui dit doucement.

« Faut pas rester ici. Rentrons quelque part pour te calmer un peu.... Ok? »

Je baisse la tête pour la regarder grâce à ma grande taille et tente maladroitement d'essuie d'un revers de main les larmes, malgré le fait que son visage était à moitié collé sur mon torse. Je tente encore de la rassuré ne sachant pas trop comment m'y prendre.

« C'est finit, ça va aller chuis là t'es en sécurité. »

Je regarde autour de nous, c'est fou avec tout ce boucan personne n'est sortie, bande de chochotte! Ce n'est pas vous qu'il a attaqué!

« Faut pas rester ici. Rentrons quelque part pour te calmer un peu.... Ok? »

Il avait raison. Je tentai de me calmer, mais les larmes continuaient de couler toutes seules et je doutais de ma capacité à articuler deux mots, là tout de suite. Sa main essuya ma joue trempée et je relevai la tête.

« C'est finit, ça va aller chuis là t'es en sécurité. »

C'était tellement rassurant d'entendre ces mots !

Je les avaient pourtant entendus cent fois ! Pendant la guerre, ils me le répétaient sans cesse "avec moi tu es en sécurité, tu ne risque rien", mais prononcés par Lev, ils prenaient tout leur sens.

Je me décollai doucement, luttant contre ce besoin de contact qui me rassurait. Je ne savais pas s'il avait un lieu en tête, mais une chose était sûre : je n'avais aucune envie de rester seule.

Si ce démon revenait et qu'il... Rien que d'y penser, je frissonnai.

A côté, la maison continuait à brûler. Il fallait vraiment qu'on quitte cet endroit. Si la police arrivait, elle ne tarderait pas à faire le lien entre l'incendie et nos vêtements plein de sang, ainsi que ma blessure.

- On va où tu veux. Je te suis.

Symphonie finit par se décollé de moi après mes dires, la maison elle brûle, pour moi la police n'était pas un problème, parce qu'il y en a presque plus sur Edora. Je ne pensais pas non plus au démon, vu son état quand il est partie il ne reviendra pas ce soir. Non pour cette fois ma préoccupation c'était de lui faire oublié tout ce qui c'est passé. Lui changer les idées.

-On va où tu veux. Je te suis.

Généralement je suis un idiot, mais la même un idiot aurait compris qu'elle ne voulait pas rester seule. Mais après ou aller sans avoir l'air déplacé? Comment lui proposé un lieu sur sans paraître être un pervers? Je préféré faire attention parce qu'elle n'avait pas besoin d'un idiot pervers non rassurant auprès d'elle non, vraiment pas. Gardant ma main contre la sienne, je me dirige vers la rue ou j'habite sans vraiment me rendre compte ou je vais.

« Il y a un lieu ou tu te sens le mieux et le plus en sécurité? »

Oui je sais, je ne suis pas vraiment le genre de personne qui pose de bonne question, même dans les situations les plus.... Difficile? Au début j'ai pensé à chez elle, car beaucoup de personne se sente mieux chez soi. Mais peu être que ce n'est pas le cas pour Symphonie, puis j'ai pensé à chez moi. Mais ça fait pervers, arrière pensé, même s'il y en avait aucune. Et en plus j'ai laisser la porte ouverte. Boh sa devrais allé, le portail lui grâce à un détecteur c'est fermé automatiquement à clef derrière moi. Je serai presque tenté d'appelé Andro' pour s'assurer qu'il n'y ai rien chez moi. Mais je ne veux pas la déranger pour se genre de problème, surtout si elle apprend que je rentre chez moi avec une fille.

On commence à entré dans la rue où j'habite pas loin y'a une intersection qui peut la ramener chez elle.

« Alors? »

Oui, dans la famille pas doué, je voudrais le gars stupide qui ne sait pas quoi faire ou quoi dire à la situation n'aillant de base que des relations sociale qui reste sur les poings, colère et coup. Et le pire c'est que je continue.

« J'habite dans la rue qui est en face et on n'est pas trop trop loin de chez toi non plus. »

Le contact de sa main me détendit et me rassura. Il avait l'air hésitant, un peu perdu même.

« Il y a un lieu ou tu te sens le mieux et le plus en sécurité? »

Je secouai doucement la tête.

J'avais une maison, mais elle me servait plus d’entrepôt qu'autre chose. Un grande maison vide et impersonnelle où je ne dormais presque jamais.
Il y avait bien des fontaines et de quoi m'immerger, mais il me fallait bien plus que de l'eau pour me sentir en sécurité ce soir.

Je laissai Lev m'entraîner. Je regardais à peine autours de moi, encore trop choquée par ce qu'il venait de se passer.  

Il s'arrêta et je mis quelques secondes à reconnaitre l'endroit.

« Alors? J'habite dans la rue qui est en face et on n'est pas trop trop loin de chez toi non plus. »

- Je ne suis presque jamais chez moi. Avouais-je faiblement. On ne peut pas dire que ce soit un endroit où je me sens en sécurité.

Je regardai de nouveau autours de moi.

Je n'avais qu'une envie, me réfugier dans une sorte de cocon rassurant et oublier cette soirée.

Et pour le moment, la seule chose qui me faisait me sentir en sécurité, c'était Lev.

- On peut aller chez toi, si ça ne te dérange pas.

Une autre fois, ça aurait clairement été une invitation à faire des galipettes, mais pas là. pas ce soir. J'étais psychologiquement épuisée.

https://edora-planet.forumactif.org/t55-nous-voila-en-securite-suite-pv-symphonie#584

Voilà la suite