Sem varúlfur og Kabbalah [PV Lev]

Les employées de la bijouterie s'activaient déjà dès le matin. C'était le signe d'une entreprise faste et en pleine croissance. Une boutique qui avait beaucoup d'argent, de marchandises, et de valeur. Une boutique donc forcément généreuse, pensaient les hommes de la Kabbale en y entrant.

L'avantage d'une bijouterie, c'était que la plupart des vendeurs étaient des femmes. Heureusement, celle-ci n'échappait pas à la règle.

Quand les hommes de la Kabbale passèrent la porte et firent retentir la petite clochette à l'entrée, il était évident pour eux que cela allait être une mission rapide et facile : trois femmes frêles les regardaient avec de grands yeux ronds et lumineux comme des lampadaires.

Le premier homme s'accouda au comptoir, un sourire malsain aux lèvres, tandis que ses deux collègues incitaient les quelques clients qu'il y avait à prendre la porte de la sortie rapidement. En l'espace de quatre ridicules petites secondes, le magasin était vide.

— Je m'présente, je m'appelle Styrbjörn. Je vais être très bref, car vous êtes le premier commerce sur notre looongue liste. Vous n'êtes pas en sécurité, vous avez besoin de protection. En échange d'une maigre, très maigre, contre-partie financière, nous vous accordons la protection de la Kabbale, et de Stjórnandi.

Le propriétaire de la bijouterie sortit de l'arrière-boutique en tendant un bon gros fusil bien calibré spécialement pour exploser des têtes. Il hurla que la Kabbale n'avait rien à faire ici et que si Styrbjörn et ses copains ne déguerpissaient pas aussitôt, il allait leur faire prendre conscience de la violence du monde avec férocité.

— Il est inutile d'arriver jusque-là, dit une voix grave et rauque.
— Stjórnandi !

Les hommes de la Kabbale s'agenouillèrent alors que Dimma Dökkhönd, Stjórnandi, le maître de la Kabbale, fit son entrée dans la bijouterie.

D'un pas calme et assuré, Dimma avança jusqu'au comptoir, les mains dans le dos. Le propriétaire brandit son fusil, mais l'arme lui fut arrachée des mains par une force invisible et expédiée dans la rue, en brisant au passage une vitre.

— Parlons, maintenant, voulez-vous ?

Dimma empoigna violemment le propriétaire par la gorge et le força à le regarder droit dans les yeux.

— 30% de vos revenus hebdomadaires, c'est tout ce que je demande. Ce n'est pas beaucoup. Ce n'est pas la moitié, ce n'est pas la totalité, ce n'est même pas un tiers. C'est 30$ sur 100, c'est 30€ sur 100, c'est 30¥ sur 100. 30%, ce n'est rien. 30%, c'est toujours moins que de devoir reconstruire votre magasin et payer l'hôpital à vos charmantes employées.

Il rejeta l'homme en arrière et croisa à nouveau les mains dans le dos.

— Je reviendrai la semaine prochaine.

Spoiler:

J'ai déçu ma mère sans doute après lui avoir envoyé le message. Ouais, j'étais un essaie pour un boulot super simple dans le supermarché. Et j'ai foiré. J'ai arraché la caisse avec son tapis électrique pour écraser un client qui exigeais une remise sur un produit qui coutais à peine 5 euros. Avec ses grand airs, et son air supérieur j'ai craquer, je lui ai écrasé le crane avec un vampire à côté que j'entendais grogner. Ce mec la est encore en vie c'était un salle hybride. Il est résistant pareil pour le vampire, et pourtant on m'a quand même virée. Mais bon d'un côté dieu merci je touche quelque aide qui me permette d'être indépendant, vu mon âge il y avait intérêt d'ailleurs. Sa me fait penser d'ailleurs que je devrais la rendre visite, ça lui ferais sans doute plaisir.

Un vacarme me fait sortir de ma rêverie, je grogne et continue ma route l'air de rien. Un fusil qui viens de cassé une vitrine de bijouterie de l'intérieur. Rien de plus, rien de grave pas de coup de feu donc tout va bien. Et puis même s'il y aurait un coup de feu je n'aurais pas agis , ils se démerdent.

Je continue donc ma route l'air de rien mais un jeunot qui vient à peine d'avoir sa puberté me coupe la route.

« Je t'ai vu! »

Je le regarde sourcils froncé ne voyant pas de quoi il parle.

« Mh? »

Le garçon insite.

« M...Mais si! La y'a même pas une demi-heure au supermarché! Tu as défoncé deux types en arrachant la caisse! »

« Et alors? »

« B.....B.....B.... Bah quoi t'as pas vu le fusil?! La bijouterie?! »

« Si et alors? »

« Bah va les secourir! »

« Non. »

Choquer l'inconnue reste sur place la bouche entre ouverte.

« M.... Mais tu es fort courageux et loyal! C'est se que mon père disais toujours! Pendant la guerre tu...Tu étais au premiers rang prêt à te battre pour la plan.... »

« Pour mes intérêts personnel qui ne te regarde que moi, maintenant dégage minus. »

Le jeunot s'énerve il mot pousse et m'adresse un regard noir.

« Pfff tapette va, va en enfer! »

Alors que celui-ci me tourne le dos je prends ma cigarette que j'avais en bouche entre mes deux doigts et dit.

« 0,00000000000000005% de personnes meurts après avoir reçu un regard noir et des menaces.... »

Je plis ma cigarette en deux le tombe au sol pour l'écraser avec mon pied et m'approche dangereusement de lui.

« JE PEUX DONC REFAIRE TA TRONCHE EN T’ÉCLATANT CONTRE LA VITRINE! »

Je l'attrape avant même qu'il agisse et tourne trois tours sur moi même pour l'envoyer voler aisément vers la bijouterie. Son corps casse un vitrine et tombe sur un homme masqué que je n'avais même pas remarquer. Ne le voyant pas se relever mais bouger le bas tout en restant au sol je peste en me sortant une autre cigarette éteinte à me mettre dans la bouche et ajuste mes lunettes.

« Non mais attends.... »

Ce qui était étonnant pas contre s'est que le patron de la bijouterie n'est pas sortie pour m'insulter et me menacer pour remboursé les dégâts. Bizarre, et dommage je lui aurait bien fait sa fête à lui aussi.

Alors que Dimma... négociait avec le propriétaire de la bijouterie, quelque chose d'invraisemblable se produisit. Un adolescent fut projeté à travers la vitrine depuis l'extérieur de la boutique, et atterrit lourdement sur Stjórnandi. Ce dernier s'écroula naturellement au sol, et mit un instant, comme ses trois sbires, à réaliser ce qu'il venait de se dérouler.

Dimma poussa l'adolescent volant qui avait, semble-t-il, décidé de comater, et se remit sur pieds. Il jeta un oeil par-delà la vitre brisée, et aperçut un homme, grand, blond, presque la quarantaine. Une paire de lunettes posée sur le nez.
Dimma fronça les sourcils. Il ne retint nullement ses hommes, qui hurlaient de concert qu'ils allaient faire payer cet affront à l'étranger aux lunettes, de se jeter sur ce dernier. Plutôt, il releva le gamin qui lui était tombé dessus.

Le patron de la boutique se rua à la fenêtre brisée, et cria à l'étranger aux lunettes que s'il le débarrassait de la Kabbale, il lui donnerait tout ce qu'il voulait.

De cela, Dimma ne s'en souciait guère. Il désirait simplement savoir qui était cet individu à la force physique herculéenne. Et pendant que ses trois hommes de main essayaient d'avoir l'avantage, il réveilla l'adolescent d'une paire de gifles.

— Écoute ma voix, gamin. Écoute-la bien.

Pendant qu'il parlait, il apposa la paume de sa main sur le front du jeune garçon. Ce dernier se tordit de douleurs à deux reprises.

— Tu vas me dire exactement ce que je veux savoir. Hlusta á mig, strákur. Heyra raust mína. Hlusta til stjórnandi. Tu vas me dire qui est le gars qui se prend pour Shizuo Heiwajima.

Il écouta attentivement ce qui lui raconta la garçon et, quand ce dernier eût fini, il le lâcha aussi simplement que s'il laissait tomber un sac de poubelle. Il se dirigea alors vers la porte, l'ouvrit délicatement, et sortit pour faire face à celui dont il connaissait désormais l'identité.

— Tu es un loup-garou, donc.

L'homme aux lunettes le dépassait d'au moins une tête ou deux, mais cela n'impressionner nullement Dimma.

— On dit que tu es à la recherche d'un travail, je me trompe ?

Mh, se serait trop beau pour être vrai, envoyé se gosse dans la bijouterie va me créer des noises... Encore quand j'ai entendu l'autre la hurler de douleur je m'en foutais, ça ne me concernait plus maintenant. Mais les mecs qui accompagnait le gars qui s'est pris le gosse dans la figure eux était furax. Après pour l'autre je ne sais pas il a un masque. La petite troupe se rue donc vers moi, puis la un truc aussi zarb que jamais se produit. La patron de la bijouterie qui m'encourage et est prêt à m'offrir tout ce que je souhaite si je me débarrasse d'eux.

« Hein? »

Bah pourquoi je ferai ça? Moi j'attaque seulement quand on m'attaque ou quand on me menace... Ah bah y'en a un qui m'as frapper, avec... Un truc? Sans rien ajouter pour cette fois je range mes lunettes et ma cigarette inspire un grand coup et....

«BANDE D'ENNNNNFOIIIIIRRRREEEEEEEEE »

Et en un seul coup de poing tout ce beau petit monde s'envole et retombe comme de la pluie. Le big boss à se qu'on peut s'imaginer arriver. Ah ben maintenant qu'on le voit de près, je le trouve.... Petit.

— Tu es un loup-garou, donc.

« Mh? »

Comment il sait ça lui? C'est quoi comme race qu'il est pour savoir ma race comme ça. Il en pue pas le vampire s'est déjà ça, sinon j'aurais exaucé le vœu du bijoutier.  


— On dit que tu es à la recherche d'un travail, je me trompe ?

L'air de rien j'hausse les épaules, lui au moins il est cool malgré sa petite taille, il ne blesse pas.

« Comme tout le monde. Pourquoi? »

Je le regarde de haut en bas avec mes yeux jaunes beaucoup plus mis en valeur par le faite que je ne portais plus mes lunettes. Ce masque.... Pourquoi? C'est.... Perturbant surtout quand on lui parle s'est plutôt chiant, ça me donne envie de le péter. J'entends le bijoutier gueuler.

« Mais bon sang qu'est-ce que tu attends?! Fais lui la peau! »

Je serre les dents, agacé, je ne suis pas son chien, encore un mot et je l'assomme.

« ROOOH MAIS LA FERME SINON C'EST A TOI QUE JE VAIS FAIRE TA PEAU! »

L'inconnu aux lunettes haussa les épaules, presque... ennuyé.

— Comme tout le monde, pourquoi ?

Dimma observa rapidement les corps défaits de ses hommes qui jonchaient le sol. Il allait devoir investir dans des programmes de musculation intensifs, c'était sûr, désormais.

— Mais bon sang qu'est-ce que tu attends ?! Fais-lui la peau !
— ROOOH MAIS LA FERME SINON C'EST A TOI QUE JE VAIS FAIRE TA PEAU !

Dimma confirmait silencieusement. Il y avait trop d'interlocuteurs dans cette discussion à deux. Sans se retourner, il leva deux doigts. La bouche du propriétaire se ferma aussitôt, comme si sa mâchoire avait été tirée vers le haut par un hameçon. Puis ce fut comme s'il venait de se prendre un coup de batte dans la figure : il tomba en arrière en se tenant le visage et en poussant un véritable cri de douleur.

— Je te prie de bien vouloir excuser cet imbécile.

Dimma approcha prudemment de l'illustre inconnu blondinet. Il enjamba le corps inconscient de l'un de ses sbires.

— Tu es très fort. Si tu es toujours à la recherche d'un emploi, je peux te proposer du travail. C'est bien rémunéré, avec possibilité de prime, plus une commission sur chacune de tes tâches.

Dimma demeurait à une distance raisonnable de son interlocuteur. Comme de nombreux loups-garous, il devait certainement avoir un sens aigu du territoire.

— Bien entendu, si tu as des conditions ou des exigences, je suis à ton écoute.

En vérité, Dimma ignorait comment l'autre allait lui répondre, ce qu'il allait lui répondre, et comment lui pourrait rebondir dessus. Ce lycan était très fort et fier. Il dégageait naturellement une aura d'autorité qu'il valait mieux respecter. Ce n'était pas le genre de personne qui se tenait en laisse, non.

Toutefois, il avait forcément un point de pression, ou un point faible, qui pourrait le rendre plus malléable à la... discussion.

Alors que j'étais prêt à casser la mâchoire du bijoutier pour qu'il se la ferme, l'homme masqué lève les deux doigts pouf, magie. Le bijoutier se la ferme après une hurlement de douleurs. Bon sang mais c'est quoi se type? On a aucun intérêt à ce le mettre à dos celui la.

— Je te prie de bien vouloir excuser cet imbécile.

Je finis par ricaner très doucement un peu comme satisfait du sort de cet imbécile.

— Tu es très fort. Si tu es toujours à la recherche d'un emploi, je peux te proposer du travail. C'est bien rémunéré, avec possibilité de prime, plus une commission sur chacune de tes tâches. Bien entendu, si tu as des conditions ou des exigences, je suis à ton écoute.

Et la TADAM! Personne ne pouvait vraiment s'attendre à ça. J'ai mis à terre ses hommes et envoyé un gamin dans sa figure et la il me propose du travail? C'est bizarre sur le coup ça paraît trop beau pour être vrai.

« Bah... ça consiste en quoi ce travail déjà? Parce que j'veux pas dire, mais mise à part m'énerver et taper... »

Je commence à fouiller dans mes poches et commence à râler.

« Rah bordel... Il fallait que se soit à se moment la que je n'ai pas ce foutue CV. »

Que ferai Andro' dans ce genre de situation est-ce qu'il a les sous au moins? Parce que de base ceux qui braque une bijouterie s'est ceux qui n'ont pas de sous non? Ah bah sa y 'est je me met à penser comme elle. Au loin je vois les vendeuses s'enfuir de la bijouterie. Alors peut-être que se mec aime juste mettre un peu de bazar partout? Dans ce cas de figure la ce travail pourrait être fait pour moi.

« Ah et euh... Ce masque s'est pour quoi? Parce que sa fait.... Bizarre. »

Puis pensif je remet met lunette regardant d'un coin de l'œil les hommes encore au sol.

« Et se qui est encore plus bizarre s'est que vous n'aillez pas gueulez parce que j'ai assommer vos.... »

J'hésite.

« Employés? »

Je plisse les yeux tentant de voir a travers le masque l'expression qu'il peut bien avoir.

« Ouais vraiment bizarre. »

— Bah... ça consiste en quoi ce travail déjà? Parce que j'veux pas dire, mais mise à part m'énerver et taper... Rah bordel... Il fallait que ce soit à ce moment-là que je n'ai pas ce foutu CV, rajouta-t-il en fouillant dans ses poches.

C'était décidément un garçon très étrange. Dimma avait beau clamer être prêt à toutes les éventualités, celle-là... il ne l'avait pas vue venir.

— Ah et euh... Ce masque c'est pour quoi? Parce que ça fait.... Bizarre.

Celle-là, elle est était prévisible. Alors qu'il dit cela, le garçon reposa les lunettes sur son nez.

— Et ce qui est encore plus bizarre c'est que vous n'ayez pas gueulé parce que j'ai assommé vos... employés ?

C'était un garçon très curieux, en fait. Dimma ne pouvait pas lui en vouloir pour cela, tous les jeunes hommes étaient faits ainsi.

— La guerre a eu son lot de souffrance et de torture. J'ai... offensé... quelques démons qui malheureusement me recherchent encore. Ils connaissent mon visage mais pas mon nom. Alors, en attendant de me le faire changer, je porte ce masque. Tout simplement.

Il était temps de se recentrer sur le sujet principal.

— Tu as l'air hésitant... Quelque chose te tracasse ? Tu as peur que je ne tienne pas parole, peut-être. Tu as raison, on n'est jamais trop prudent dans la vie. Regarde-moi, j'ai été imprudent, et en conséquence, je dois me cacher derrière ce masque.

Dimma se devait de le rassurer. Il ne fallait surtout pas qu'il lui file entre les doigts.

— S'il s'agit d'une question d'argent, je peux te faire un acompte. Ce que je te propose est très simple : tu n'as qu'à être toi-même pour gagner ta vie. C'est tout.

Il tendit le bras vers la bijouterie derrière lui.

— Cette bijouterie est à moi depuis quelques minutes. Vas-y. Entre, sers-toi, prends ce que tu veux, et tu verras que Dimma Dökkhönd tient parole.

Normalement, cela devrait achever de le convaincre...

De plus en plus bizarre, je suis méfiant peu être un peu trop. Mais en même temps que feriez vous si un mec bizarre braque une bijouterie et vous propose du travail ensuite. Vous aurez réagis comment hein? C'est alors que, tel qu'un grand organisé, l'homme masqué réponds un par un à mes questions.

— La guerre a eu son lot de souffrance et de torture. J'ai... offensé... quelques démons qui malheureusement me recherchent encore. Ils connaissent mon visage mais pas mon nom. Alors, en attendant de me le faire changer, je porte ce masque. Tout simplement.

Mais attends.... C'est débile, parce que a force de chercher, il finiront par savoir que s'est lui avec le masque... Mh... Je ne pense pas que les démons soient aussi stupide, si? Ouais bon ne nous attardons pas la dessus, mensonge ou pas se n'est pas le genre de chose qui sont sensé me regarder.

— Tu as l'air hésitant... Quelque chose te tracasse ? Tu as peur que je ne tienne pas parole, peut-être. Tu as raison, on n'est jamais trop prudent dans la vie. Regarde-moi, j'ai été imprudent, et en conséquence, je dois me cacher derrière ce masque. S'il s'agit d'une question d'argent, je peux te faire un acompte. Ce que je te propose est très simple : tu n'as qu'à être toi-même pour gagner ta vie. C'est tout.  Cette bijouterie est à moi depuis quelques minutes. Vas-y. Entre, sers-toi, prends ce que tu veux, et tu verras que Dimma Dökkhönd tient parole.

Et la c'est le gros blanc, sourcils froncé à fixer l'homme masqué je reste la à beuger  ''Ce que je te propose est très simple : tu n'as qu'à être toi-même pour gagner ta vie.'' Parce que c'est possible ça? Je veux dire être payer à vivre et a rien faire? C'est trop beau pour être vrais y'a un truc qui se cache sous cette proposition s'est obligé. Ça va faire maintenant 5 voir 6 bonnes minutes que je reste planté la ainsi a le fixer sans dire un mot et me met à dire comme un gros abrutie que je suis.

« Attends... Je vais être payer à ne rien faire?! Vous donnez de l'argent au inconnue gratuit comme ça?! »

J'ai du mal comprendre. Mh oui c'est ça j'ai tout simplement mal compris.

« Non aller sérieusement. Gagner ma vie en étant moi même s'est juste impossible tout le monde le sais. Pas pour rien que je réussis à garder aucun de mes emplois. »

Puis je viens tout juste de constaté qu'il a de façon original son nom et pas moi. Mouais bon ça n'a pas d'importance. Si? Bon ben.... Tant pis. Rah les trucs bizarres comme ça ça me perturbe. Ça n'arrive pas souvent mais ça me perturbe.

« C'est pas très clair votre truc. »

— Attends... Je vais être payer à ne rien faire?! Vous donnez de l'argent au inconnue gratuit comme ça?! Non aller sérieusement. Gagner ma vie en étant moi même s'est juste impossible tout le monde le sais. Pas pour rien que je réussis à garder aucun de mes emplois. C'est pas très clair votre truc.

Évidemment, il avait fallu qu'il complique les choses. D'une façon assez unique, mais il les avait compliquées. Dimma décida de tenter une dernière tactique. Après, il n'aurait plus qu'à se retirer.

— Alors, si tu ne trouves pas de travail, qu'as-tu à perdre ?

Il fit un pas sur le côté, et commença à tourner autour de Lev.

— Que préfères-tu ? Vivre de maigres allocations ou avoir de quoi t'offrir ce que tu désires ?

Il s'arrêta et son regard se perdit dans le vide.

— Te priver ou te faire plaisir ?

Il tourna la tête vers le ciel.

— Être asservi ou libre ?

Il se retourna et fixa le jeune homme droit dans les yeux.

— J'ai besoin d'un homme fort comme toi, jeune homme. J'ai besoin de quelqu'un comme toi dans la Kabbale. D'un gars qui n'a pas froid aux yeux et qui n'a pas peur de se retrousser les manches pour bosser. Tu as de suite su capter mon regard.

Dimma écarta les bras.

— À toi de saisir l'opportunité qui se présente à toi ! Qu'en dis-tu, mon garçon ?

C'était la dernière chance du garçon. Ou il acceptait, ou il se faisait un très puissant ennemi.

— Alors, si tu ne trouves pas de travail, qu'as-tu à perdre ?

Je fronce les sourcils le suivant du regard, pourquoi il tourne la comme ça? En plus il n'a pas répondu à ma question.

— Que préfères-tu ? Vivre de maigres allocations ou avoir de quoi t'offrir ce que tu désires ?

Tel que Jack Sparrow avec ses consciente dans pirates des caraïbes 4 je me parle à a moi même.

« Avoir se que je veux c'est bien. »

Je fronce les sourcils

« Mais je veux quoi? »

Dimma finit par s'arrêter.

— Te priver ou te faire plaisir ?

Me parlant toujours à moi même je grimace.

« Ah sa non, moi j'aime taper quand je suis énervé. »

— Être asservi ou libre ?

« La liberté s'est cool... »

C'est alors qu'un regard glacial me sors de la rêverie. Ce travail à l'air cool, même si je ne sais toujours pas en quoi il consiste.

— J'ai besoin d'un homme fort comme toi, jeune homme. J'ai besoin de quelqu'un comme toi dans la Kabbale. D'un gars qui n'a pas froid aux yeux et qui n'a pas peur de se retrousser les manches pour bosser. Tu as de suite su capter mon regard. À toi de saisir l'opportunité qui se présente à toi ! Qu'en dis-tu, mon garçon ?

Je penche la tête sur le côté réfléchissant un petit instant. Je finis par hausser les épaules.

« Bon ben.... Ok pourquoi pas alors. »

Je verrai bien en quoi consiste son travail et si ça ne me plaid pas je m'en vois et voilà. Pas vraiment de quoi s'inquiéter.

« Par contre je ne me servirai pas dans cette bijouterie, y'a rien qui m'intéresse. C'est pas grave?»

Je finis par m'allumer une cigarette et envoyé très brièvement un message à Andro' pour lui annoncer que j'ai trouver un boulot qui a l'air cool. En espérant qu'on ne me virera pas pour cette fois. J'aimerai lui donner plus de bonne nouvelle que de mauvaise.

Le gamin semblait à nouveau plus hésitant et moins déterminé à refuser l'offre de Dimma...

Il fit une moue presque forcée et finit par lâcher :

— Bon ben... Ok pourquoi pas alors.

Et bien voilà, ce n'était pas si compliqué, finalement.

— Par contre je ne me servirai pas dans cette bijouterie, y'a rien qui m'intéresse. C'est pas grave ?
— À ta guise. Tu es libre de faire ce que tu veux.

À quelques conditions près qu'il serait sage d'éclaircir plus tard. Un peu plus tard.

Il alluma une nouvelle cigarette, sortit son téléphone, et pianota agilement sur le clavier. Dimma trouva cette action un peu grossière, étant donné qu'ils étaient en train de parler, mais tout compte fait, il n'attendait pas tellement de ce jeune homme qu'il soit plus poli qu'efficace.

— Parfait. Bienvenue dans la Kabbale, jeune homme. Je te recontacterai bientôt. En attendant, profite de ta liberté et vis-la à fond.

Il n'en aurait bientôt plus besoin...

Il était temps de partir. Dimma jeta un regard rapide à ses trois hommes de main, toujours KO. Sans soupirer ni s'énerver, immobile, les mains croisées dans le dos, il s'éleva alors au-dessus du sol, monta dans les airs, et disparut sur les toits.

Sortie de scène dramatique : check.

— À ta guise. Tu es libre de faire ce que tu veux. Parfait. Bienvenue dans la Kabbale, jeune homme. Je te recontacterai bientôt. En attendant, profite de ta liberté et vis-la à fond.

Puis il finit par disparaître tel qu'un illusionniste qui flotte dans les airs et moi je reste la a fumer ma cigarette plutôt satisfait d'avoir déjà trouver un nouveau travail. Puis j'entends un rallement, un des hommes qui commence à se réveiller je l'entends murmurer.

« Toi... »

Déjà agacé je lui dit.

« Roh la ferme! »

Je l'assomme de nouveau d'un coup de pied et par l'air de rien pour rentrer chez moi me changer pour ensuite donner la nouvelle autrement que par téléphone à ma mère Andro' pour fêter ça.

Mais tout de même je me demande en quoi pourrait bien consisté se travail, espérons que je ne serai pas dans une histoire à s'en tirer les cheveux, je n'aime pas réfléchir. C'est un peu pour cette raison que je suis tomber dans le piège et accepté le travail. Oh et puis zut pourquoi je prendre la tête, je continue mon chemin l'air de rien laissant les incapables au sol, ne prenant même pas la peine de les porter à l'hôpital, non mais attends puis quoi encore hein?